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Meilleurs Blu-ray 3D sortis en mars : 6e




6ème : INCROYABLE OCEAN 3D




Image & Profondeur : 
Jaillissements : 
Bilan 3D : 

BILAN 3D :
Incroyable Ocean 3D est la bonne surprise de ce début d'année 2013 dans la catégorie des documentaires aquatiques 3D. s'approchant dès les premières minutes du niveau technique des 2 leaders du genre que sont Les Merveilles de l'Océan 3D, et IMAX Under the Sea 3D. le film impressionne déjà d'emblée sur l'effet de profondeur exprimée pendant sa narration. A côté de cette profondeur, le film pêche parfois un peu au niveau de la qualité de l'image, avec quelques séquences en surexposition sur les blancs et une utilisation abusive de l'éclairage artificiel sous-marin pour illuminer les scènes, qui dégrade ponctuellement le rendu visuel. Mais là où le film fait le show, c'est sur le registre des débordements et des jaillissements permanents, effets extrêmes que tous les amateurs attendent de découvrir dans ce genre de contenu 3D. Le film se hisse au niveau du dernier surdoué sorti en 3D, Sous l'Océan 3D qui bénéficiait d'un nombre impressionnant de plans de débordements et jaillissements, et se permet même dans ses 15 premières minutes de le dépasser avec un nombre sidérant de petits poissons et espèces sous-marines traversant la pièce dans tous les sens, et ce dans des massifs coralliens d'une beauté et luminosité sidérantes. On appréciera cette débauche d'effets visuels 3D 'out' qui fera pour la première fois immanquablement penser au 2e opus de Sammy 3D, car Amazing Ocean 3D se positionne fortement sur un registre technique 3D équivalent (pour rappel Sammy 2 3D avait un niveau d'intensité de jaillissements légèrement inférieur au 1er opus), c'est dire comme la comparaison est flatteuse.

Franck.L

LES PLUS (+)
LES MOINS (-)

Une profondeur 3D très impressionnante sur la durée
Un nombre impressionnant de séquences de débordements et jaillissements permanents
Une grande variété de poissons qui se retrouvent à sortir généreusement hors du mur de projection (bancs, raies manta, dauphins, lamantins, plancton)
Une bonne maîtrise des cadrages pour les scènes de jaillissements
Qualité de l'image en baisse parfois : séquences en surexposition sur les blancs
Une utilisation abusive de l'éclairage artificiel sous-marin dégradant parfois le visuel







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samedi, mars 30, 2013


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