Aller en haut Aller en bas

Tests Blu-ray 4K UHD & Blu-ray 3D Halluciner.fr Tests Blu-ray 3D - Blu-ray 4K Ultra HD Halluciner.fr






Test The Iceman 3D Blu-ray 3D / Image & Profondeur 3D


1.
2.
3.
4.





Note
3,9/5
Profondeur :  
Premier aperçu technique sur les qualités plastiques de l'image : la palette colorimétrique se montre riche, la luminosité bien gérée dans l'ensemble, les noirs profonds et les contrastes corrects.

A noter par contre une anomalie curieuse que l'on a constatée à de nombreuses reprises sur des plans tournés essentiellement dans la pénombre (une grande partie dans les 15 première minutes) : un contraste différent entre l'image droite et gauche sur certains plans sombres, occasionnant une sorte de clignotement un peu désagréable sur l'image (un peu dans le même esprit que les artefacts lumineux liés au différences de luminosité sur les textures réfléchissantes). Même si le problème est marginal, il doit être signalé !

On attaque ensuite la profondeur 3D : sans surprise elle se montre rapidement de bonne qualité, ce qui n'est pas surprenant pour une captation en 3D native. Les plans en intérieur sont en général très réussis avec une bonne spatialisation 3D sur les plans larges et semi-larges.

Attention en revanche aux plans rapprochés en intérieur qui peuvent parfois hériter de flou sur les arrière-plans. Cela reste tout de même assez discret !

En ce qui concerne les extérieurs, les plans panoramiques et aériens proposent souvent une profondeur de champ impressionnante, idem pour une grande partie des plans semi-larges, alors que certains plans rapprochés pourront parfois être un peu moins percutants.

Si la profondeur 3D est bonne sur l'ensemble du film, cela ne nous a pas empêchés de trouver de nombreuses améliorations à apporter sur certains plans, où la profondeur 3D ne brille pas vraiment.

En effet pour des raisons assez diverses, on trouve des séquences ou plans à la profondeur 3D peu impressionnante : soit à cause de flou (classique), soit à cause ponctuellement de baisses générales de l'intensité (niveau de parallaxes), ou de manque d'optimisation de la mise en scène 3D (cadrages), faisant chuter l'effet 3D.

Mais c'est surtout la grande hétérogénéité du détachement 3D entre les objets qui joue le trouble-fête dans la perception efficace de la spatialisation 3D dans le temps. En effet on trouve parfois un arrière-plan affiché très loin, mais un positionnement spatial des éléments intermédiaires un peu imprécis.

Au final un rendu 3D efficace, mais qui manque d'optimisation pour aller chercher la note 3D ultime. On frôle le 4/5 !


1.
2.
3.
4.

lundi, juillet 07, 2014


0 Comments:

<< Home

.