Test Les Minions 2 : Il était Une Fois Gru 3D / Jaillissements 3D
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JAILLISSEMENTS 3D :
Note
Jaillissements : 5/5 Quid des jaillissements ? Le studio qui a toujours réussi à faire la part belle au registre s'en donne de nouveau à cœur-joie pendant le long métrage. Toute la palette d'effets 3D est réquisitionnée et mise à rude épreuve pendant tout le film ! Dès le début on profite de sortie d'écran appréciables et on remarque déjà immédiatement que le réglage des débordements est très fort avec des sorties régulières de 1m50 à 2m hors du mur sur tous les éléments des premiers plans. Tout y passe, aussi bien pour les décors d'intérieur, les décors urbains ou végétaux. On appréciera par exemple les séquences dans les jardins avec le premier plan de pelouse qui s'étire avec une convergence très forte, parfois jusqu'à 3m hors du mur sur notre installation. On aura ensuite dans le film quelques sorties en jaillissements permanents top démo comme Will Karnage qui sort de 3m de l'écran. Plus tard c'est au tour de Gru lorsqu'il est pendu dans le vide à la verticale. Autre effet 3D top démo avec le pistolet à glue de Nefario : son utilisation permet de matérialiser une main verte de glue qui sort de plus 3m hors du mur à plusieurs reprises : magnifique ! Autre sortie 3D marquante, avec des séquences de fourche de moto qui sort jusqu'au canapé. On aura aussi plus loin un canon qui percent fortement l'écran et rentre dans la pièce ! Les explosions ne sont pas en reste et lors des collisions et autres contacts, on a des effets de projections de particules ou débris vers le spectateur. On a aussi la séquence de la piscine avec les crocodiles qui sautent à plusieurs reprises vers la caméra. Lors de l'intro avec les petits personnages métalliques incas, il y a de nombreuses projections de morceaux de métal vers le canapé dans les scènes d'action. Les travellings jaillissements ne sont pas en reste avec quelques séquences parfaitement intégrées, comme celle du travelling en jaillissements au travers d'une dizaine de troncs d'arbres transpercés. D'autres séquences similaires s'illustreront à travers des décors urbains. On n'oubliera pas les innombrables séquences avec les minions qui évoluent au milieu de la pièce, notamment dans le combat final. Dans ce même combat d'ailleurs on a un incendie qui va générer de nombreuses séquences de jaillissements permanents de braise incandescente dans la pièce. Idem avec des jaillissements permanents d'eau lors de certaines séquences. Seule limite à l'expérience, le format en 2.40 qui occasionne forcément et mécaniquement des windows conflicts lors des jaillissements d'objets à forte échelle et qui ne tiennent pas intégralement dans le scope de l'image. Par contre dès que les objets concernées sont avec des petites proportions, cela fonctionne à merveille pour le cerveau. Il suffit toutes les 30 secondes dans le film de faire l'effort de mesurer et faire attention au niveau de sorties de la 3D par rapport au mur de projection (ou de votre dalle TV) comme repère pour comprendre que les débordements sont paramétrés avec une amplitude et niveau de parallaxe négatif gratifiants pour l'expérience ! |
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