Test The Finest Hours Blu-ray 3D / Image & Profondeur 3D
| 1. | |
| 2. | |
| 3. | |
| 4. |
IMAGE & PROFONDEUR 3D :
Note
Profondeur : 4,4/5  
Le premier constat commence par les qualités plastiques de l'image : la
palette colorimétrique est assez bonne, les noirs et contrastes sont corrects , et la luminosité bien gérée. On a quand-même vu mieux en général sur le même thème.
On s'attaque maintenant à l'évaluation de l'effet de profondeur 3D sur la durée. La fin du visionnage permet de dresser rapidement le cahier des charges du film. En premier lieu, la profondeur 3D se montre bonne, même très bonne sur la durée. Disons pour être plus précis que le codage en post-prod de cette profondeur est très bon : cela donne une excellente spatialisation dès que l'environnement permet de l'exprimer. Cela veut également dire que l'environnement est souvent très contraignant et ne met pas en valeur cette profondeur 3D. Ainsi sur les extérieurs de jour ou de nuit sur la terre ferme, la profondeur 3D est excellente sur les plans larges ou panoramiques. En mer cela se gâte un peu car forcement la tempête engendre un brouillard et de la brume caractéristiques qui effacent les arrière-plans. Ainsi les plans larges sont juste bons, tandis que les plans semi-larges sont à peine satisfaisants. C'est donc sur les intérieurs qu'il faudra chercher refuge, et autant sur la terre ferme les bons éclairages engendrent des plans avec une profondeur 3D top démo, autant dans les cales et soutes du navire, la pénombre ambiante limite un peu les perspectives. Cela n'empêche pas le film d'arborer une bonne profondeur 3D dans les intérieurs, mais c'est surtout l'obscurité qui est l'ennemi numéro 1 du détachement 3D dans ce film. A noter quelques jolis plans qui illustrent l'effet de hauteur et vertige, et 2-3 autres pour montrer l'effet de profondeur en vision sous-marine. Au final une bonne profondeur 3D limitée par les environnements de tempête et la nuit. |
| 1. | |
| 2. | |
| 3. | |
| 4. |
Facebook
Twitter
Instagram
<< Home