Test Tarzan 3D Blu-ray 3D / Image & Profondeur 3D
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Note
Profondeur : 5/5
Premier tour d'horizon sur les qualités plastiques de l'image : c'est beau et parfaitement exécuté : la palette de couleur est enchanteresse, digne d'un Avatar 3D, les contrastes et noirs sont optimaux, avec une luminosité judicieusement maîtrisée ! Next !
Dès les premières minutes, on appréhende un niveau de profondeur d'excellente facture, et la suite ne viendra que confirmer cette première intuition !
En effet nous n'avons pas affaire à une petite production allemande marginale, mais à un AAA en matière de profondeur 3D. Il suffit de 5 minutes pour se rendre compte que le spectacle va être magistral sur le sujet !
Les décors fourmillent de détails, et prennent littéralement vie via l'extrême profondeur 3D qui règne en permanence. Préparez-vous à prendre une jolie claque permanente sur les plans semi-larges et larges, car les panoramiques sont souvent majestueux, et la profondeur de champ affolante !
Dès que la caméra s'élève un peu, on en prend pour son grade, car la densité de forêt luxuriante se matérialise avec une infinité de plans intermédiaires, et contribue à engendrer une spatialisation 3D top démo.
La moindre séquence en bordure de précipice, ou du haut d'un arbre, donne immédiatement le tournis. Même les séquences au sol sont impressionnantes, de jour comme de nuit.
Même constat sur les plans rapprochés qui ne sont pas en reste, et ne sacrifient que rarement le rendu 3D d'ensemble. Petite parenthèse pour préciser que lorsque la narration nous entraine dans la civilisation dans la salle réunion de la corporation Greystoke Energies, l'effet de profondeur 3D y est sublime !
Il faut noter que cette intensité idéale de la profondeur 3D ne faiblit à aucun moment (à peine 2 à 3 flou de-ci de-là) pendant les 1H30 de la projection.
On retiendra de nombreux passages top démo, comme la première traversée à lianes de Tarzan avec des travellings affolants, ou les différentes séquences de plongeon ou chutes dans le vide.
Autres séquences admirables, les séquences nocturnes qui nous plongent littéralement dans un rendu digne de Pandora, avec une gestion parfaite de l'éclairage de la lune : de vraies cartes postales 3D !
Idem dans le 2e chapitre, la découverte de nouveaux environnements tels que des marécages ou des grottes multiplient les points de vues panoramiques qui décollent la rétine grâce à cette profondeur de champ à la fois insondable et ultra réaliste !
Indissociable de la profondeur 3D, le détachement 3D est évidemment aussi au top pendant le film, permettant la perception toujours juste des distances entre les éléments, décors, objets et personnages.
Nul besoin d'en dire plus sur le film, à notre grande surprise, le plaisir est immense lorsqu'on prend le temps d'apprécier cette démonstration permanente sur la profondeur 3D, la hauteur et le détachement. On attend de voir ce que donnent les jaillissements maintenant !
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