Aller en haut Aller en bas

Tests Blu-ray 4K UHD & Blu-ray 3D Halluciner.fr Tests Blu-ray 3D - Blu-ray 4K Ultra HD Halluciner.fr






Test Dead Before Dawn 3D Blu-ray 3D / Conclusion & Bilan 3D


1.
2.
3.
4.



Bilan 3D :  
Dead Before Dawn 3D est une nouvelle curiosité de la nature : essentiellement issue d'une conversion 3D sans prétention, on dispose en revanche dans le 1er acte de 5 bonnes minutes cultes avec de nombreux plans larges en extérieur dignes des meilleures captations 3D. On citera ainsi de superbes plans sur la pelouse de l'université avec une profondeur 3D insondable, un détachement intermédiaire bluffant. Mais que viennent faire ces quelques séquences type 3D native dignes d'un destination Finale 4 3D par exemple, au milieu d'une conversion 3D moyenne dans l'ensemble ? Le mystère restera entier ! Car une fois ces petites réjouissances passées, la profondeur 3D est moyenne sur la durée, voire même insuffisante dans de nombreux plans de nuit. Il suffit de rappeler que le film est essentiellement un road-movie de nuit, et tout est dit. Pourtant sans tirer sur l'ambulance, on pourra apprécier quelques séquences avec une profondeur 3D acceptable en fonction des sources d'éclairage. Quid des jaillissements ? Plutôt positifs dans l'ensemble : pas mal de débordements 3D et de jaillissements permanents de personnages et objets à plus de 1m hors du mur. La séquence la plus impressionnante reste celle d'un travelling dans le 1er acte, avec un focus plan large sur les héros qui marchent vers le canapé, avec une particularité : ils se tiennent au milieu de la pièce en jaillissement permanent ! Un effet 3D vraiment culte, mais qu'on ne retrouve plus une seule fois dans le film. Quel dommage ! On  appréciera quelques projections de bulles-info qui prennent parfois par surprise (pour matérialiser par exemple un protagoniste qui téléphone) et qui viennent s'afficher au milieu de la pièce à droite ou gauche. Idem avec quelques éléments qui s'étendent parfois furtivement hors du mur. Au final un divertissement souvent débile, avec une 3D en dent de scie, qui propose quand même un bon service sur les débordements et quelques jaillissements 3D, mais qui avait vocation à aller plus loin dans cette direction de film déjanté : on reste sur sa faim concernant les nombreux effets 3D gadgets que le film aurait du intégrer régulièrement dans sa mise en scène 3D et qui manquent au final. En lieu et place on nous sert quelques échantillons symboliques.
Franck L.

LES PLUS (+)
LES MOINS (-)

Un effet de profondeur 3D moyen sur la durée du film (conversion 3D)
5 minutes de séquences au début du film cultes sur l'effet de profondeur 3D et de détachement (plans sur la pelouse de l'université de jour) à priori captées en 3D native 
Quelques très bons jaillissements permanents d'objets (armes), personnages (corps, mains)
D'excellents pop-up de bulles-info diverses qui surprennent et font même parfois sursauter


Le flou qui affecte régulièrement tous les arrière-plans
La profondeur 3D qui se montre souvent assez faible
Les environnements de nuit qui souffrent d'un problème de lisibilité avec profondeur 3D très précaire
Le manque de jaillissements sur la durée











1.
2.
3.
4.

mardi, mars 04, 2014


.