Après la démonstration technique sur la profondeur, l'heure est à la qualification des effets de jaillissements. Alors pour faire court, c'est l'unique déception du documentaire, car il est axé sur le 100% profondeur de malade, mais fait presque l'impasse sur les effets de jaillissements.
Pour être plus précis, on relèvera tout de même de nombreux débordements 3D ponctuels dans le film qui agrémentent légérement le visionnage.
Il y a par contre 2-3 très belles et uniques séquences de jaillissements dans le film, où le spectateur se retrouve avec de très fortes projections de neige directement sur le canapé lors de figures acrobatiques, pendant 10 secondes : l'effet 3D est vraiment réussi, et on rage de ne pas voir cet effet 3D dupliqué de nombreuses fois tout au long du documentaire.
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