Test The Art of Flight 3D / Conclusion & Bilan 3D
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Bilan 3D :
The Art of Flight qui, après être devenu sur la scène internationale une icône et un documentaire 2D top démo sur la beauté des paysages filmés, la qualité et le piqué de l'image, l'excellence de sa photographie, et une bande son 7.1 incroyablement jouissive (musique et SFX de démonstration), se voit converti en 3D pour satisfaire ses fans à travers le monde, et donne naissance à un contenu 3D, à mi-chemin entre le road-movie et le documentaire, qui est un top démo sur la profondeur et la hauteur 3D. Le titre 'Art of Flight' est une double métaphore qui fait référence à la fois à l'hélicoptère / sponsor Red Bull, ultra léger et maniable, capable d'accéder aux sommets enneigés les plus reculés des 4 coins du globe, mais aussi à ses surfers, pionniers de l'extrême, capables littéralement de voler dans les airs lors de sauts de plusieurs dizaines de mètres dans des paysages splendides, vierges et insondés, lovés à des hauteurs 3D vertigineuses. Et bien que régulièrement l'effet de calques 3D intermédiaires se fera sentir lors travellings et plans dynamiques, trahissant furtivement la nature 2D de la captation à l'origine, on ne peut que rester pantois devant l'immensité 3D retranscrite à postériori, qui reussit à vous immerger comme rarement au sein des paysages, enchainant des exploits techniques tellement fous qu'on finit par avoir l'impression d'être dans une sorte de rêve éveillé. Le frisson ressenti pour ces artistes de l'extrême est tel qu'on se retrouve à retenir son souffle pendant l'éxecution de figures plus insensées les unes que les autres, preuve que le rendu 3D fonctionne à merveille. On notera aussi que sur 70% du film, les positions statiques des caméras engendrent un rendu 3D de profondeur et hauteur irréprochable. Seuf bémo de taille, l'absence quasi total d'effets de jaillissements, à part quelques débordements ponctuels, et 2 séquences excellentes par contre de projection de neige directement vers le canapé, tellement réussies qu'on en redemande. Mais les points de vues souvent panoramiques et l'éloignement de la caméra n'auraient pas permis de rajouter plus d'effets de jaillissements, de par la nature du documentaire. Un voyage d'une beauté visuelle insondable, avec une profondeur et une hauteur 3D de démonstration bien que purement virtuelles, qui offrent une téléportation au sein de décors de carte postale souvent surréalistes, appuyé par une bande son HD Master 7.1 également de référence.
Franck L.
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LES PLUS (+)
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LES MOINS (-)
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• Un effet de profondeur 3D et de détachement 3D top démo sur l'ensemble du film • Un effet de hauteur et d'espace 3D hallucinant lors des nombreux points vues vertigineux • Des arrière-plans trés détaillés • 2-3 effets de jaillissements de type projection réussis avec de la projection de neige sur la caméra • Une photographie exceptionnelle • Un documentaire qui ressemble plus à un road movie de 1h20 • Le format d'image 1.78 |
• Lors de certains travellings, un effet de calques 2D intercalés qui trahit la nature convertie de la 3D avec des perspectives déformées
• Pas d'effets de jaillissements dans le film au global (un peu de débordements) |
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