Test Sexy Dance 4 Blu-ray 3D / Image & Profondeur 3D
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Image & profondeur :
L'insertion du Blu-ray 3D dans le lecteur et les premières minutes de visionnage commencent fort en mettant en scène une séquence située sur Ocean Drive Bd à Miami. La palette colorimétrique qui s'offre propose une variété de couleurs chaudes ultra réalistes, servie par un affichage sans faille de noirs profonds. Le maintien de la luminosité est quasiment assuré comparativement à la version 2D : un très bon préambule !
On découvre ensuite le rendu appliqué à la profondeur : sans surprise, les premiers plans centrés sur Ocean drive sont étourdissants en affichant une perspective de champ diabolique. La poursuite du visionnage confirme ce sentiment d'excellence avec une profondeur admirable sur une majorité de plans. Le niveau de parallaxe des lointains frise souvent l'insolence sur les nombreux plans larges avec un horizon à perte de vue.
On apprécie d'ailleurs le placement exquis et toujours savamment étudié des caméras pour mettre en œuvre un maximum d'effets de profondeur. En premier lieu évidemment on pense aux chorégraphies divines avec des caméras qui alternent tantôt un positionnement proche du sol, tantôt s'élèvent au dessus des danseurs. Dans les 2 situations, la profondeur affichée est de toute beauté, même si le travail sur la profondeur prend souvent toute son ampleur et s'apprécie à 100% dès que la caméra prend un peu de recul, s'élève ou s'éloigne des protagonistes et des décors de premiers plans.
De même les plans filmés en intérieur sont souvent très impactants avec un travail admirable sur le détachement des objets et éléments placés au sein des scènes : cette réussite participe très souvent à une excellente perception de la spatialisation naturelle des décors et scènes affichées.
Dans les séquences d'excellence on trouve naturellement chacune des séquences de flash mob orchestrées, ainsi que les nombreux plans larges et aériens sur la baie de Miami, les bords de plage, les scènes sur les docks ou les quais.
De même la chorégraphie dans la galerie d'art, avec un environnement nocturne de fond électrisé par des jeux de lumière somptueux dans un rendu artistique incontestable, ainsi que celle de vengeance lors du meeting avec la municipalité sur un thème très "Dark" et "Halloween", exploitent une profondeur 3D très impressionnante.
Tout cela aurait pu mener à la perfection technique sur la profondeur si certaines séquences n'étaient pas amoindries régulièrement par des effets traditionnels de flou sur les arrière-plans. L’œil exercé n'aura de cesse de remarquer inévitablement ces séquences de flou qui s'intercalent toujours entre 2 merveilleuses séquences de profondeur et de finesse 3D, telle une verrue sur un visage d'ange. C'est dommage une fois habitué à ce niveau impressionnant pour la profondeur 3D, car on ne comprend pas ce petit retour en arrière régulier qui vient ponctuellement saper le travail technique.
On le trouve parfois sur les gros plans et zooms, mais pas systématiquement. De même on peut parfois trouver ces flous qui s'intercalent d'un coup sur une séquence de plan large qui se révèle excellente jusqu'à ce moment : on peut donner par exemple un exemple frappant ou sur la même séquence de 1 minute se côtoient l'excellence (profondeur et affichage de l'horizon à l'infini lors de la vue sur le pont), avec le très moyen lorsque d'un coup sur d'autres plans lointains on distingue un flou marqué @ 1h:14 dans le film.
Alors bien sur on très loin de la dérive technique qui avait fait flancher StreetDance 2 3D car ces petits défauts occasionnels écartent juste le film de la note ultime de 5/5 pour la profondeur 3D.
Dans les séquences d'excellence on trouve naturellement chacune des séquences de flash mob orchestrées, ainsi que les nombreux plans larges et aériens sur la baie de Miami, les bords de plage, les scènes sur les docks ou les quais.
De même la chorégraphie dans la galerie d'art, avec un environnement nocturne de fond électrisé par des jeux de lumière somptueux dans un rendu artistique incontestable, ainsi que celle de vengeance lors du meeting avec la municipalité sur un thème très "Dark" et "Halloween", exploitent une profondeur 3D très impressionnante.
Tout cela aurait pu mener à la perfection technique sur la profondeur si certaines séquences n'étaient pas amoindries régulièrement par des effets traditionnels de flou sur les arrière-plans. L’œil exercé n'aura de cesse de remarquer inévitablement ces séquences de flou qui s'intercalent toujours entre 2 merveilleuses séquences de profondeur et de finesse 3D, telle une verrue sur un visage d'ange. C'est dommage une fois habitué à ce niveau impressionnant pour la profondeur 3D, car on ne comprend pas ce petit retour en arrière régulier qui vient ponctuellement saper le travail technique.
On le trouve parfois sur les gros plans et zooms, mais pas systématiquement. De même on peut parfois trouver ces flous qui s'intercalent d'un coup sur une séquence de plan large qui se révèle excellente jusqu'à ce moment : on peut donner par exemple un exemple frappant ou sur la même séquence de 1 minute se côtoient l'excellence (profondeur et affichage de l'horizon à l'infini lors de la vue sur le pont), avec le très moyen lorsque d'un coup sur d'autres plans lointains on distingue un flou marqué @ 1h:14 dans le film.
Alors bien sur on très loin de la dérive technique qui avait fait flancher StreetDance 2 3D car ces petits défauts occasionnels écartent juste le film de la note ultime de 5/5 pour la profondeur 3D.
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