Test Sammy 2 3D / Jaillissements 3D
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Jaillissements :
Quand on évoque Samy 1 dans le jargon populaire 3D, on parle principalement des effets de jaillissements, alors pour certains, peu importe le niveau de profondeur tant que le spectacle des effets de jaillissements est au rendez-vous.
Moment critique puisque l'on aborde désormais ce registre des effets techniques 3D du film. Dès le début de la projection, un soulagement s'opère immédiatement lorsque l'on voit les premiers protagonistes sortir généreusement du mur en jaillissements.
Les têtes de nos tortues sortent de 1 mètre du mur, des mouettes jaillissent et volent rapidement au milieu de la pièce pour constituer un spectacle qui semble de référence. En fait le premier quart d'heure du film se concentre sur des séquences terrestres, et ces séquences n'étaient pas forcément les plus impressionnantes du 1er épisode. Alors bien sur on retrouve des débordements marqués d'éléments de décors qui font partie des meilleurs du genre, mais on s'impatiente rapidement en espérant retrouver rapidement nos cultissimes séquences immergées sous l'eau en mode "jaillissement permanent".
Pour récompenser la patience du cinéphile à ce stade préliminaire du film, Sammy 2 propose, toujours dans ce premier environnement terrestre et aérien, une séquence culte de jaillissements : on se retrouve logé sur une mouette qui sort de 2 mètres du mur, flottant en plein milieu de la pièce pendant 30 secondes, et menant une attaque sur l'équipage d'un bateau de pêche, aidée par 3 autres comparses mouettes. Top !
Une fois finie, on espère enfin plonger la tête dans l'eau, et au bout de 20 minutes on y arrive : on redécouvre cette caractéristique technique propre à Samy 1, à savoir des effets de jaillissements permanents (voir glossaire technique), cad un extension permanente des décors sous-marins en dehors du mur de visionnage, de sorte que la scène se joue en permanence dans la pièce de visionnage, avec des héros qui y déambulent.
C'est avec joie que l'on redécouvre ce magnifique effet 3D avec nos tortues principales qui se baladent en dehors du mur. La définition et les textures appliquées aux modèles 3D sont toujours excellentes, renforçant le réalisme des animaux lorsqu'ils s'approchent de la caméra.
Mais à quelle distance s'approchent-ils d'ailleurs régulièrement du spectateur dans ce nouvel opus ? Et bien en fait les effets de jaillissements se montrent beaucoup moins extrêmes dans ce nouvel opus, la faute à un calibrage de la gamme des jaillissements permanents moins poussé.
Pour être plus clair, lorsque dans Samy 1, l'intégralité de la scène s'affichant dans un périmètre compris entre le mur de visionnage, et le canapé, avec une quantité incroyable de séquences où des éléments 3D atteignaient carrément le canapé et touchaient au passage le spectateur, dans Sammy 2 la gamme se trouve réduite et le champ d'expression des jaillissements se situe globalement entre le mur de visionnage, et la mi-distance entre votre mur de visionnage et le canapé.
En résumé les éléments jaillissants ne dépassent que rarement 50% de votre distance entre le mur et le canapé. Alors effectivement ce n'est pas grave car Sammy 2 propose une infinité de jaillissements permanents dans cette gamme définie et réussit de nouveau à nous faire tourner la tête par cette profusion de sorties d'écran.
Mais de nouveau il souffre la comparaison avec son prédécesseur qui avait mis la barre tellement haute, que l'on ne pouvait qu'espérer de nouveau un exploit technique sur les jaillissements pour sa suite. Cela confère donc à Sammy 2 un effet 3D plus lisse que le 1er épisode, et de fait un peu moins impressionnant techniquement.
Ainsi ceux qui espéraient de nouveau se confronter à des bancs de poissons qui traversent la pièce dans leur direction, voir des méduses et des tortues à 10 cm du visage, se frayer un chemin et se cogner le visage dans une dizaine d’hippocampes, se faire attaquer par serpent sur le canapé, seront irrémédiablement déçus de ne pas retrouver leur lot de séquences de jaillissements aussi extrêmes.
Ainsi dans Sammy 2 3D, les quelques séquences de jaillissements qui sortent du périmètre spatial décrit plus haut sont principalement liées aux déplacements des 2 murènes : celles-ci d'ailleurs proposent souvent des plans top démo puisque qu'elles sortent du mur de 3 mètres dans la salle de test 3D (ce qui correspond au 2/3 de la distance mur-canapé). On les voit régulièrement se dandiner partout dans la pièce pour un réalisme incroyable, qui rappelle sans conteste les superbes effets de jaillissements dispensés dans le récent Madagascar 3 3D.
De même dans la mesure où une grande partie du film se déroule en extérieur et non sous l'eau, le film perd de fait l'occasion d'afficher ces superbes effets de jaillissements permanents d'eau et d'immerger votre pièce sous l'eau. On remarquera en passant que dans les passages aquatiques, le nombre d'effets de particules flottantes partout dans la pièce a été fortement réduit, or c'est ce qui contribuait justement au réalisme exceptionnel des effets de jaillissements permanents dans Samy 1.
On notera que les séquences cultes de jaillissements sont de nouveau liés aux animaux de petites tailles qui peuvent sortir du mur intégralement sans engendrer de windows conflict ou de problèmes de cadrage avec des parties de corps qui sortiraient du mur ponctuellement pendant un jaillissement : ainsi on jubilera de tous les jaillissements effectifs des nombreux poissons présents dans l'aquarium ainsi que de ceux centrés sur nos 2 jeunes héros tortues.
C'est avec joie que l'on redécouvre ce magnifique effet 3D avec nos tortues principales qui se baladent en dehors du mur. La définition et les textures appliquées aux modèles 3D sont toujours excellentes, renforçant le réalisme des animaux lorsqu'ils s'approchent de la caméra.
Mais à quelle distance s'approchent-ils d'ailleurs régulièrement du spectateur dans ce nouvel opus ? Et bien en fait les effets de jaillissements se montrent beaucoup moins extrêmes dans ce nouvel opus, la faute à un calibrage de la gamme des jaillissements permanents moins poussé.
Pour être plus clair, lorsque dans Samy 1, l'intégralité de la scène s'affichant dans un périmètre compris entre le mur de visionnage, et le canapé, avec une quantité incroyable de séquences où des éléments 3D atteignaient carrément le canapé et touchaient au passage le spectateur, dans Sammy 2 la gamme se trouve réduite et le champ d'expression des jaillissements se situe globalement entre le mur de visionnage, et la mi-distance entre votre mur de visionnage et le canapé.
En résumé les éléments jaillissants ne dépassent que rarement 50% de votre distance entre le mur et le canapé. Alors effectivement ce n'est pas grave car Sammy 2 propose une infinité de jaillissements permanents dans cette gamme définie et réussit de nouveau à nous faire tourner la tête par cette profusion de sorties d'écran.
Mais de nouveau il souffre la comparaison avec son prédécesseur qui avait mis la barre tellement haute, que l'on ne pouvait qu'espérer de nouveau un exploit technique sur les jaillissements pour sa suite. Cela confère donc à Sammy 2 un effet 3D plus lisse que le 1er épisode, et de fait un peu moins impressionnant techniquement.
Ainsi ceux qui espéraient de nouveau se confronter à des bancs de poissons qui traversent la pièce dans leur direction, voir des méduses et des tortues à 10 cm du visage, se frayer un chemin et se cogner le visage dans une dizaine d’hippocampes, se faire attaquer par serpent sur le canapé, seront irrémédiablement déçus de ne pas retrouver leur lot de séquences de jaillissements aussi extrêmes.
Ainsi dans Sammy 2 3D, les quelques séquences de jaillissements qui sortent du périmètre spatial décrit plus haut sont principalement liées aux déplacements des 2 murènes : celles-ci d'ailleurs proposent souvent des plans top démo puisque qu'elles sortent du mur de 3 mètres dans la salle de test 3D (ce qui correspond au 2/3 de la distance mur-canapé). On les voit régulièrement se dandiner partout dans la pièce pour un réalisme incroyable, qui rappelle sans conteste les superbes effets de jaillissements dispensés dans le récent Madagascar 3 3D.
De même dans la mesure où une grande partie du film se déroule en extérieur et non sous l'eau, le film perd de fait l'occasion d'afficher ces superbes effets de jaillissements permanents d'eau et d'immerger votre pièce sous l'eau. On remarquera en passant que dans les passages aquatiques, le nombre d'effets de particules flottantes partout dans la pièce a été fortement réduit, or c'est ce qui contribuait justement au réalisme exceptionnel des effets de jaillissements permanents dans Samy 1.
On notera que les séquences cultes de jaillissements sont de nouveau liés aux animaux de petites tailles qui peuvent sortir du mur intégralement sans engendrer de windows conflict ou de problèmes de cadrage avec des parties de corps qui sortiraient du mur ponctuellement pendant un jaillissement : ainsi on jubilera de tous les jaillissements effectifs des nombreux poissons présents dans l'aquarium ainsi que de ceux centrés sur nos 2 jeunes héros tortues.
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