On s’intéresse désormais au registre des effets de jaillissements dans le film. L'introduction du film met la barre extrêmement haute car on a droit à une séquence top démo, ni plus ni moins !
En effet, après la petite claque sur le nouveau générique IMAX, le film débute tout d'abord avec des effets de neige et de flocons qui tombent partout dans la pièce en jaillissement permanent à plus de 2 mètres hors du cadre.
Ensuite le début du documentaire se poursuit avec une séquence de 'crédits' et logo de film qui défilent et s'affichent en lettres de glace : après 5 secondes, celles-ci explosent et viennent se projeter directement sur le spectateur en jaillissement permanent et effet de projection violent !
Cette séquence 3D est incroyable et constitue véritablement un des plus beaux génériques 3D que l'on a pu constater sur plus de 150 visionnages de films Blu-ray 3D à date.
On enchaine ensuite avec le vrai début du reportage et là, c'est la douche froide, car le film bascule intégralement en mode 100% profondeur, avec aucun effet de débordements ni de jaillissements.
On attend avec impatience de voir le traitement 3D des séquences sous-marines en s'attendant à minima à quelques jaillissements d'ours ou de morse hors du mur de projection : pourtant lorsque ces séquences se produisent, la déception est très forte car on constate à peine ponctuellement un ridicule niveau de débordements 3D.
Il y a juste 2 uniques séquences où des éléments sortent significativement du mur de projection : la première se situe lorsqu'un ours vient donner un coup de museau à la caméra ; la deuxième se déroule lors d'une superbe séquence de tempête de neige pendant 30 secondes, qui de nouveau renoue avec un très bon effet 3D de jaillissements hors du mur.
Sur les autres 30 minutes du reportage, on ne trouvera rien d 'autres à signaler, et c'est dommage au final ! Ainsi sur le même thème polaire, le film se situe bien loin techniquement du dernier Blu-ray 3D testé Ours Polaires 3D.
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