Test Fascinant récif de corail vol3 / Conclusion & Bilan 3D

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1.	Introduction
2.	Note Image & profondeur 3D
3.	Note Jaillissements 3D
4.	Conclusion & Bilan 3D

Bilan 3D : Troisième volume de cette série de documentaires sous-marins édités par Universal, Fascinant récif de corail 3D - Chasseurs et proies Blu-ray 3D, vient fermer la marche des 2 autres opus testés déjà en import il y a 2 mois sur Halluciner.fr, à savoir Fascinant récif de corail 3D - Spectacle captivant volume 1, et Fascinant récif de corail 3D : Mondes mystérieux volume 2. Ce dernier épisode propose un spectacle 3D satisfaisant sur la durée, et se dote d'une profondeur 3D respectable en dépit des nombreux environnements captés dans une eau souvent trouble, ou d'un bleu pénétrant, ce qui est déjà en soi une jolie performance au regard des contraintes techniques extérieures. On aura droit aussi parfois à quelques superbes séquences de profondeur 3D, notamment lors de nombreux mouvements de caméras à la découverte d'un bateau enfoui au fond de la mer et retapissé par mer nature. En ce qui concerne les effets de jaillissements, on constate tout d'abord un excellent niveau de jaillissement permanent de particules de planctons, qui s'affichent violemment dans toute la pièce dans un large périmètre à  forte proximité du canapé. Cet effet 3D se retrouve même renforcé par la présence de très fort courant sous-marins, qui propulsent régulièrement ces grosses particules généreuses avec force sur la caméra, c'est à dire les spectateurs. Par métaphore on évoquerait presque l'envie d'actionner les essuie-glaces par moment pour améliorer la visibilité générale ! En ce qui concerne les jaillissements de poissons à proprement parler, c'est une immense déception pendant plus de 30 minutes, excepté lors d'une petite séquence de 20 secondes où des dizaines de petits poissons luminescents s'affichent à 1m50 hors du mur. Mais ce documentaire cache terriblement bien son jeu, car à la 38e minute, c'est une véritable séquence Top démo qui s'offre à vous, une séquence digne de celle du célèbre et cultissime Mérou dans IMAX Under the Sea 3D. Lors de cette séquence, on voit pour la première fois dans tous les reportages aquatiques à date, une énorme murène très agressive, sortir progressivement de sa cachette pour venir littéralement attaquer la caméra et le spectateur, et se voit illustrée par une énorme jaillissement permanent de plus de 3 mètres hors du mur de visionnage, avec en final ultime, un finish la gueule ouverte pour attraper littéralement le spectateur, positionnant cette murène virtuellement bien après le canapé, alors que son corps s'étire de tout son long jusqu'au mur : impressionnant et jubilatoire ! Quel dommage que cette scène sorte un peu de nul part, et ne cadre pas du tout avec la qualité du reste du documentaire qui n'affiche pratiquement jamais aucun poisson hors du mur ! Il suffirait au spectateur de s'assoupir pendant les 5 excellentes minutes de ce reportage, pour en rater l'essentiel...

LES PLUS (+)	LES MOINS (-)

• Une profondeur 3D satisfaisante dans l'ensemble • Un effet de profondeur 3D et détachement 3D qui sont plus qu'honorables même dans les environnements en eaux très troubles • Des jaillissements permanents de planctons très intenses et réussis (plancton qui se projette jusqu'au canapé en permanence) • Une séquence culte de 30 sec de jaillissement permanent : une murène qui sort de plus de 3 mètres hors du mur de visionnage pour attaquer le spectateur ! • Le format d'image idéal en 1.78

• Des séquences avec une profondeur plus faible • Des scènes avec une eau trouble, des arrière-plans délavés ou d'un bleu uniforme  • Aucun jaillissement dans le film excepté la séquence singulière de la murène

1.	Introduction
2.	Note Image & profondeur 3D
3.	Note Jaillissements 3D
4.	Conclusion & Bilan 3D

3. Note Jaillissements 3D

1. Introduction