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Test Fascinant récif de corail vol2 / Jaillissements 3D


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Jaillissements : 
Passer après les 3 ténors 3D du genre que sont Amazing Ocean 3D, IMAX Under the Sea 3D et Merveilles de l'Océan 3D n'est pas un exercice aisé. En effet ces derniers proposent les plus belles séquences de jaillissements permanents avec des plans de poissons et autres espèces pouvant sortir ponctuellement de 2 à 3 mètres hors du mur de visionnage. 

Fascination Coral Reef 3D débute dans les premières minutes avec un premier effet 3D excellent, qui est certainement l'un des meilleurs du genre avec ceux de Amazing Ocean 3D et ceux de Merveilles de l'Océan 3D : les effets de jaillissements permanents de particules et planctons au milieu de la pièce.

Ainsi pendant tout le reportage, des milliers de particules envahissent en permanence votre pièce de visionnage, avec un courant marin tellement puissant par moment qu'il dirige ces particules avec forces sur vos lunettes, donnant envie de les pousser des mains comme dans Samy 3D.

Ce premier effet est parfois si intense qu'on aurait presque du mal à voir clairement la scène, positionnant à ce moment le film comme le meilleur du genre dans l'exploitation de cet effet.

Mais le constat positif s’arrête là :  malheureusement, il n'y aucune autre forme de jaillissements permanents pendant le reportage, et à aucun moment, vous n'aurez la chance de voir les décors rocheux sortir de 1 ou 2 mètres hors du mur, ni de voir les espèces sous-marines nager au milieu de votre salle de visionnage.

Jamais, ou presque jamais, car à partir de la 38e minutes, 3-4 plans orchestreront enfin les premiers effets de jaillissements permanents sur quelques poissons, passages tellement anecdotiques qu'on ne les retiendra hélas pas.

Néanmoins, la présence de plancton omniprésent en jaillissement permanent permet paradoxalement une immersion suffisante, et comble en permanence les séquences de particules flottantes, alors que dans les documentaires concurrents, il y a régulièrement des passages brefs sans aucun jaillissements qui ponctuellement peuvent sembler un peu vides (par exemple au moins 20 minutes dans le très bon reportage 3D Sous l'Océan 3D) : ce parti pris technique aura au moins cet avantage.

Cela reste quand même une grande déception au final d'avoir fait l'impasse sur le jaillissement de quelques poissons, surtout que cela fait partie des attentes légitimes sur un tel reportage.

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lundi, mars 18, 2013


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