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Test Ready Player One Blu-ray 3D / Image & Profondeur 3D


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IMAGE & PROFONDEUR 3D :

Note
5/5
Profondeur :  
Premier tour de piste en ce qui concerne tout d'abord les qualités plastiques de l'image : les noirs sont excellents avec un très bon niveau de contraste, la palette de couleurs généreuse et la gestion de la luminosité parfaite pendant 2H20 !

On se penche maintenant sur l'effet de profondeur 3D : dès les premières minutes, on comprend que le spectacle va être grandiose en la matière : Spielberg fait exprès pendant 1 minute de proposer une profondeur 3D assez soft, sa manière d'accentuer l'effet wow dès que le héros va mettre son casque VR sur la tête et entrer dans l'univers virtuel d'Oasis.

Car effectivement dès qu'on entre dans cet univers, on prend une claque incroyable sur la profondeur 3D : top démo !

Les parallaxes sont tirés au maximum et les arrière-plans semblent s'étendre à perte de vue : la séquence de travelling dans l'espace et les différents mondes arrachent quelques neurones en passant et rappellent l'expérience extrême d'un Lichtmond 4 3D.

On enchaîne ensuite avec le chapitre sur la course façon 'Motorstorm Sony" pour trouver la 1ère récompense, et de nouveau le spectacle visuel est incroyable : 10 minutes d'orgasme en 2 parties, avec un détachement 3D incroyable entre les participants et les obstacles !!!

On a d'ailleurs un passage fou avec King Kong qui démolit tout sur son passage en arrière-plan ! Incroyable délire visuel ! Tout ceci avec une spatialisation top démo comme on en a rarement vue avant !

On fait entre temps quelques allers-retours entre l'Oasis et le monde réel : Spielberg a l'idée lumineuse de hisser quasiment le niveau de profondeur 3D du monde réel à l'excellence de celui du monde virtuel pour atténuer les écarts et lisser les rendus.

Évidemment il pousse toujours les curseurs sur la profondeur et le détachement au paroxysme dans l'Oasis pour obtenir cette extase no limit, mais cela n'empêche pas le monde réel de proposer en parallèle une très belle expérience 3D.

Et ça continue ensuite : on enchaine sur un autre chapitre virtuel dans la boite de nuit, celui sur Saturday Night Fever ! De nouveau, difficile à décrire : points de vue vertigineux, gravité sans dessus dessous, on se croit dans Gravity 3D, les couleurs, la musique et un concept démesuré en plus !

La suite du film continue de plus belle et on peut considérer qu'aucun chapitre n'est gratuit et que chaque mise en scène est pensée intégralement pour la 3D ! Un bonheur !

On ouvre une parenthèse pour décrire certains univers réels qui possèdent un rendu 3D top démo, comme les archives de la mémoire de James Halliday !

En effet se retrouver devant ces vitrines avec une transparence parfaite et un effet de volume hyper réaliste est bluffant : on a l'impression que le mur de projection devient une vitre et fenêtre vers l'autre monde.

La poursuite du film maintient ce niveau exemplaire sur tous les paramètres : les plans larges et panoramiques sont toujours top démo, idem pour les plans semi-larges.

On notera d'ailleurs que le rendu 3D est toujours d'exception quels que soient les niveaux de luminosité : qu'on soit en plein jour ou de nuit, en intérieur ou en extérieur l'expérience 3D n'est jamais dégradée et propose ce qu'il y a de mieux en la matière.

Même les plans rapprochés ne proposent en l'état que très peu de flou sur les arrière-plans, permettant de profiter au maximum de la palette d'effets 3D du film !

Et sans surprise, il n'y aura pratiquement aucun répit visuel dans le film, à l'exception de 3-4 séquences de-ci de-là sur de la narration : la dernier chapitre final remet encore l'ultime coup sur la tête pour consacrer l'expérience ! Superbe !


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mercredi, août 01, 2018


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