Test Rogue One: A Star Wars Story Blu-ray 3D / Image & Profondeur 3D
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IMAGE & PROFONDEUR 3D :
Note
Profondeur : 4/5
En ce qui concerne les caractéristiques plastiques de l'image, elles sont très excellentes : noirs profonds, palette colorimétrique magnifique et luminosité très bien gérée sur la durée.
On se penche maintenant sur la profondeur 3D : le film propose en fait un niveau très hétérogène sur l'effet de profondeur 3D. Histoire de simplifier et caricaturer le contenu pour vous en donner la juste saveur, on dira que le film est scindé et propose 2 parties distinctes : la première heure et la 2e heure. Dans ce premier chapitre assez lent et narratif, on nous propose un cadrage fait à 90% de plans rapprochés et semi-rapprochés, et comme le film abuse énormément des flous sur les arrière-plans, le rendu n'est pas très glorieux. On supplie la production de nous proposer de-ci de-là quelques plans larges qui viennent rajouter de la Force à la pellicule, car heureusement tous les plans panoramiques sont entre du 4,5/5 et du 5/5 en terme de profondeur 3D. Donc pendant une heure on aura droit à un rendu de profondeur 3D qui oscille entre 3 et 3,5/5 avec quelques envolées ponctuelles lors d'une scène d'action dans l'espace, ou sur fond de planète ou d'étoile noire. Puis vient la 2e heure, moment salutaire qui vient redonner le mordant tant espéré à la production : autant dire que tous les plans larges vont être grisants et souvent top démo, avec une profondeur 3D et une spatialisation clinique sur ces environnements féeriques de plages et base balnéaire. Du coup la production opte pour du 50% de plans larges à minima et très peu de plans rapprochés, et la qualité perçue explose car on oscille entre 4,5/5 et parfois 5/5 lors des panoramiques dans l'espace autour du bouclier, ou en vue de dessus au dessus des rivages. A noter que la palette colorimétrique et la puissance du détachement permettent de tirer la quintessence des ces environnements ! Au final le dernier chapitre propose un rendu 3D qu'on aurait aimé retrouver sur l'ensemble des 2h, et on retiendra que la première heure est quelconque et passable en terme d'expérience 3D. Ps : nous n'aborderons pas les nombreux artefacts de lumière visibles 'classiques' inhérents à toutes les TV 3D, car après avoir testé 2 fois le film sur nos vidéoprojecteurs 3D Optoma, nous avons aussi visionné le film sur une TV Samsung 3D et découverts tous ces artefacts qui viennent se superposer à l'image (artefacts qui n'existent jamais en VP 3D pour rappel). |
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