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Conquest of the Skies 3D Blu-ray 3D / Image & Profondeur 3D


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IMAGE & PROFONDEUR 3D :

Note
5/5
Profondeur :  
Le premier constat commence par les qualités plastiques de l'image : la palette colorimétrique est superbe, les noirs et contrastes sont puissants, et la luminosité optimale.

On se penche maintenant sur l'effet de profondeur 3D. Dès le début, la profondeur 3D impressionne par son intensité : les plans larges sont ébouriffants et même les plans semi-larges donnent dans la démonstration technique.

La poursuite du documentaire va permettre de dresser un portrait technique complet. Si on essaye de résumer ces 2H48 de documentaires, composées de 3 épisodes, il en ressort la même analyse 3D suivante.

Tous les panoramiques sont grisants et top démo : David Attenborough est toujours le maître incontestable de la captation en 3D native, et comme dans toutes ses productions, le rendu 3D est souvent une contrefaçon parfaite de la réalité : les distances d'affichages sont parfaites entre les éléments et les décors, et sont toujours perçues par le cerveau comme hautement réalistes.

Ce documentaire extraordinaire nous entraîne en plus dans un voyage autour du monde, avec des variétés de décors exotiques, et un niveau de captation qui égale régulièrement celui de James Cameron.

Pour être franc, il y a une centaine de plans statiques cultes, où on a littéralement la berlue, tant le rendu 3D est confondant de réalisme ! Toutes ces séquences en plans larges et semi-larges prises dans la végétation affichent un détachement extraterrestre entre les éléments, feuilles, branches, et David Attenborough qui s'amuse régulièrement à s'y mettre en scène.

Encore plus fou, demeure la qualité des images numériques intégrées par endroit, lorsqu'il s'agit de redonner vie à des espèce disparues : on peut acter immédiatement sur le savoir-faire incroyable du studio et du réalisateur pour contrefaire de nouveau la réalité comme jamais.

Si l'on prend par exemple le chapitre réservé aux dinosaures volants, il y a des plans larges en forêts captés en réel (tous les décors sont toujours captés en 3D native live action), avec des images de synthèse de dinosaures qui affichent un rendu 3D d'une qualité encore jamais vue à date. Même Spielberg en 2015 ne ferait sans doute pas mieux dans le genre !

Si les plans aériens, panoramiques, travellings mènent la danse du top démo, c'est également souvent le cas pour les plans semi-larges avec une très belle qualité de profondeur 3D et détachement.

En fait même les plans rapprochés restent très satisfaisant en terme de spatialisation : cependant si l'on devait trouver un seul défaut dans ce documentaire 3D, ce serait la présence de flou volontaire sur les arrière-plans pendant les gros zooms sur les espèces volantes.

Mais on aurait tord de le reprocher à Sir David Attenborough, car ce sont véritablement des flous artistiques, ajoutés voire souvent volontairement exagérés pour mieux faire ressortir le focus du spectateur sur un gros jaillissement au milieu de la pièce, surtout que des jaillissements permanents, il y en a presque une infinité, et qu'ils durent en général très très longtemps (un exploit) !

Enfin un dernier mot sur les séquences nocturnes ou en intérieur sombres (grottes), avec toujours le maintien impressionnant de la visibilité et du détachement 3D entre les éléments !

Au final un rendu de profondeur 3D top démo, un détachement 3D exemplaire sur les plans larges et semi-larges, et des flous artistique d'arrière-plans sur d'innombrables gros plans pour s'assurer de capter un maximum d'attention sur l'audience. Pour une rare fois, on n'en tiendra pas rigueur tellement la beauté des images renvoie chaque seconde à de magnifique cartes postales 3D.


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mardi, juin 02, 2015


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