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Test L'Île des Miam-nimaux : Tempête de boulettes géantes 2 Blu-ray 3D / Image & Profondeur 3D


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Note
4,5/5
Profondeur :  
Première évaluation classique, celle des caractéristiques plastiques de l'image : le spectateur en aura de ce côté pleinement pour son argent, car on peut difficilement faire mieux dans la catégorie ! Débauche de couleurs et palette luxuriante, taux de contraste aux petits oignons, luminosité optimale sur la durée, et noirs profonds, que demande le peuple ?

On se penche à présent sur l'effet de profondeur 3D constaté dans le film. Les premières minutes sont rassurantes sur ce point, puisque celui-ci se montre de très bon niveau, sur une variété d'environnements intérieurs et extérieurs.

Le relief est bien présent en toutes circonstances, et les effets de distances avec les différents arrière-plans sont bien perceptibles. On note déjà à ce stade une sensible évolution à la hausse versus le premier épisode.

On saluera les excellents volumes 3D mis en scène lors de la découverte de la salle d'amphi par exemple, ainsi que différents décors de laboratoire.

Une scène de descente en ascenseur appuiera d'ailleurs sur la profondeur 3D verticale et l'effet de hauteur.

Mais le rendu 3D s'améliore encore au bout de 30 minutes lorsque l'on évolue dans la fameuse île des Miams nimaux ! Et là pour être honnête, le spectacle vaut le détour sur 90% des séquences affichées.

La profondeur 3D rend hommage en permanence à l'immensité des décors extérieurs, permettant une perception excellente des hauteurs et distances 3D.

Jusqu'à la fin du film, on se délectera de la plupart des plans larges et caméras de hauteur qui dégagent une spatialisation 3D tonitruante.

Impossible de lister ici toutes les séquences qui se démarquent tellement l'intensité de la profondeur 3D reste constant dans le temps, mais on peut déjà relever de superbes plans de pêche en haute mer, puis des descentes dans des cascades dans l'arrivée sur l'île.

Par la suite, une majorité de plans larges sur la faune et la flore de l'île impressionneront régulièrement avec un niveau de profondeur 3D littéralement excellent. Un passage éblouissant marquera avec une vue aérienne sur d'énormes tours de cristaux plongeant vers un abysse sans fond !

On notera que le détachement 3D est exemplaire également, avec une séparation parfaite entre les éléments, et une perception toujours naturelle des distances qui séparent chaque éléments, objets, personnages, des décors.

Pour illustrer ce détachement, on citera le rendu 3D de la végétation (branches, feuilles, fleurs etc), tout comme en intérieur on rappellera les séquences dans des tribunes avec une séparation impressionnante de chaque laborantin. Il faut relever également que le détachement 3D est encore plus impressionnant dans les scènes nocturnes, un exploit !

En fait c'est uniquement à cause de quelques flous sur arrière-plans qui perdurent de-ci de-là, proportion assez insignifiante comparée à la durée globale du film, que le film perd sa 5e étoile dans la note de la profondeur 3D, terminant à un très bon 4,5/5.

Idem de rares arrières-plans ont parfois un rendu simplifié en 2D, uniquement sur les plans rapprochés ou zooms sur les personnages, ce qui nuit très ponctuellement à l'effet de volume arrière. La perfection est frôlée de peu !


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mercredi, janvier 15, 2014


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