Test Planes Blu-ray 3D / Image & Profondeur 3D
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Image & profondeur :
Le premier aspect passé à la loupe est traditionnellement celui consacré à la plastique objective de l’image : celle-ci est de toute beauté, avec un piqué souvent impressionnant, des noirs denses à souhait, des contrastes efficaces, et une palette colorimétrique souvent flatteuse, souvent car de toutes les caractéristiques listées ici, c’est bien la seule qui parfois peut-être prise en défaut dans Planes 3D avec parfois des arrière-plans qui font un peu grise mine et semblent un peu ternes.
On s’attaque désormais à l’effet de profondeur 3D. Dans un film consacré à l’aviation, il semble incontournable d’exploiter le potentiel lié aux effets d’altitudes mais aussi de vitesse lors des déplacements dans les airs.
La séquence d’introduction met immédiatement les points sur les i avec une superbe séquence aérienne centrée sur Dusty, et les premiers environnements se montrent aussi gigantesques qu’attendus, signifiant que l’effet basique de profondeur 3D est bien au rendez-vous.
De retour au sol, nous pouvons véritablement apprécier l’effet de profondeur 3D et de distance 3D, et il est évident que le rendu 3D exploite à merveille les volumes 3D au sein des scènes.
La suite du programme ne fait que confirmer ce très bon effet de profondeur 3D sur la durée dans les séquences terrestres, aussi bien dans les environnements intérieurs et/ou exigus, que lors des plans larges et panoramiques au sol.
Mais là où Planes 3D fait littéralement sensation, outre cette précision générale chirurgicale sur la profondeur 3D, c’est en fait sur l’effet de hauteur 3D et de détachement 3D lors des séquences aériennes.
En effet il faut être honnête : les séquences au sol ou de narration sont belles au niveau profondeur 3D, mais pas exceptionnelles et ce ne sont pas elles qui sont capables de vous décrocher par moment un « ah oui quand même ! »; en revanche les séquences aériennes le peuvent !
Que dire sinon qu’elles sont souvent magnifiques, avec une spatialisation 3D incroyable des avions au sein des décors. Si on se passe à la loupe la réussite incontestable de leurs rendus 3D, on comprend vite que le détachement 3D est d’un niveau exceptionnel sur le ou les héros volants, un marquage 3D puissant des contours des volumes qui font littéralement jaillir les avions des éléments de décors dans un relief 3D redoutable.
C’est simple une multitude de séquences de vol avec Dusty vont vous arracher la rétine, avec une incroyable perception dualiste d’infiniment grand ou petit, doublée d’une appréciation d’espace 3D ultra réaliste.
Le placement des caméras lors de nombreux travellings renforce ce sentiment d’immersion 3D.
On notera également au début du film des séquences sidérantes de détails 3D, lorsque notamment Dusty vole en rase motte au dessus des champs de blé : nous vous invitons à faire particulièrement attention au détachement 3D appliqué à chaque plan de maïs sur toute la profondeur 3D.
De même les premiers plans aériens qui révèlent la piste d’atterrissage sont franchement bluffants en 3D.
On notera d’ailleurs une séquence délirante au niveau rendu 3D : celle lorsque les avions sont acclamés dans le stadium : profondeur de champ 3D d’un autre monde, et détachement 3D de tous les éléments de décors et des particules flottantes au paroxysme.
Pour faire preuve d’esprit de critique, on pourra seulement reprocher dans ce film, que de temps en temps, certains arrière-plans au design fade, ou aux couleurs délavées dans le ciel s’effacent un peu trop, diminuant mécaniquement la perception de volume et profondeur 3D.
Mais ne boudons pas trop, car ce n’est qu’un phénomène d’intensité 3D à la baisse, et en aucun cas un odieux problème sempiternel de flou qu’on trouve dans de nombreux autres films.
On s’attaque désormais à l’effet de profondeur 3D. Dans un film consacré à l’aviation, il semble incontournable d’exploiter le potentiel lié aux effets d’altitudes mais aussi de vitesse lors des déplacements dans les airs.
La séquence d’introduction met immédiatement les points sur les i avec une superbe séquence aérienne centrée sur Dusty, et les premiers environnements se montrent aussi gigantesques qu’attendus, signifiant que l’effet basique de profondeur 3D est bien au rendez-vous.
De retour au sol, nous pouvons véritablement apprécier l’effet de profondeur 3D et de distance 3D, et il est évident que le rendu 3D exploite à merveille les volumes 3D au sein des scènes.
La suite du programme ne fait que confirmer ce très bon effet de profondeur 3D sur la durée dans les séquences terrestres, aussi bien dans les environnements intérieurs et/ou exigus, que lors des plans larges et panoramiques au sol.
Mais là où Planes 3D fait littéralement sensation, outre cette précision générale chirurgicale sur la profondeur 3D, c’est en fait sur l’effet de hauteur 3D et de détachement 3D lors des séquences aériennes.
En effet il faut être honnête : les séquences au sol ou de narration sont belles au niveau profondeur 3D, mais pas exceptionnelles et ce ne sont pas elles qui sont capables de vous décrocher par moment un « ah oui quand même ! »; en revanche les séquences aériennes le peuvent !
Que dire sinon qu’elles sont souvent magnifiques, avec une spatialisation 3D incroyable des avions au sein des décors. Si on se passe à la loupe la réussite incontestable de leurs rendus 3D, on comprend vite que le détachement 3D est d’un niveau exceptionnel sur le ou les héros volants, un marquage 3D puissant des contours des volumes qui font littéralement jaillir les avions des éléments de décors dans un relief 3D redoutable.
C’est simple une multitude de séquences de vol avec Dusty vont vous arracher la rétine, avec une incroyable perception dualiste d’infiniment grand ou petit, doublée d’une appréciation d’espace 3D ultra réaliste.
Le placement des caméras lors de nombreux travellings renforce ce sentiment d’immersion 3D.
On notera également au début du film des séquences sidérantes de détails 3D, lorsque notamment Dusty vole en rase motte au dessus des champs de blé : nous vous invitons à faire particulièrement attention au détachement 3D appliqué à chaque plan de maïs sur toute la profondeur 3D.
De même les premiers plans aériens qui révèlent la piste d’atterrissage sont franchement bluffants en 3D.
On notera d’ailleurs une séquence délirante au niveau rendu 3D : celle lorsque les avions sont acclamés dans le stadium : profondeur de champ 3D d’un autre monde, et détachement 3D de tous les éléments de décors et des particules flottantes au paroxysme.
Pour faire preuve d’esprit de critique, on pourra seulement reprocher dans ce film, que de temps en temps, certains arrière-plans au design fade, ou aux couleurs délavées dans le ciel s’effacent un peu trop, diminuant mécaniquement la perception de volume et profondeur 3D.
Mais ne boudons pas trop, car ce n’est qu’un phénomène d’intensité 3D à la baisse, et en aucun cas un odieux problème sempiternel de flou qu’on trouve dans de nombreux autres films.
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