Test Cars 3D Blu-ray 3D / Jaillissements 3D
1. | |
2. | |
3. | |
4. |
Jaillissements :
Après avoir fait le tour sur le registre de la profondeur 3D, voici le moment de qualifier l'expérience sur les jaillissements 3D.
Sans espérer grand chose sur ce périmètre 3D, on n'aura finalement peu de choses très significatives en retour, et donc pas de forte déception.
Maintenant si vos attentes étaient fortes en la matière, vous serez fortement déçu car le film propose principalement des débordements 3D de voitures (0 à 50 cm hors de l'écran), et à quelques reprises quelques séquences plus réussies de vrais jaillissements permanents hors de l'écran.
Ainsi cela se traduit par des voitures qui sortent légèrement en bordure de cadre le long de la narration, mais de manière très soft : dès qu'une voiture qui parle est dirigée vers la caméra, à de rares occasions la caméra s'approche un peu et permet de faire sortir un peu le capot du cadre.
Par contre dans les séquences d'action, le film s’énerve un peu plus niveau 3D comme par exemple dans la première course : lors du saut, Flash se retrouve à 1m50 hors du mur de projection, exemple marginal qui ne se reproduira plus par la suite, les 2-3 autres meilleures sorties ne dépassant plus les 1m hors du mur.
On appréciera un bon traitement 3D sur les fumées volumétriques qui sortent un peu hors de l'écran. Mais le meilleur effet 3D dans ce film réside dans les effets de projection d'éléments : lors des courses, le moindre frottement de châssis au sol se matérialise avec des étincelles qui se dirigent vers le spectateur.
Idem lors des séquences de drift dans la poussière du désert, avec des projections de terre vers le canapé, projections d'ailleurs très réussies.
Et ce sera en gros l'essentiel du registre des jaillissements constatés dans ce film.
Sans espérer grand chose sur ce périmètre 3D, on n'aura finalement peu de choses très significatives en retour, et donc pas de forte déception.
Maintenant si vos attentes étaient fortes en la matière, vous serez fortement déçu car le film propose principalement des débordements 3D de voitures (0 à 50 cm hors de l'écran), et à quelques reprises quelques séquences plus réussies de vrais jaillissements permanents hors de l'écran.
Ainsi cela se traduit par des voitures qui sortent légèrement en bordure de cadre le long de la narration, mais de manière très soft : dès qu'une voiture qui parle est dirigée vers la caméra, à de rares occasions la caméra s'approche un peu et permet de faire sortir un peu le capot du cadre.
Par contre dans les séquences d'action, le film s’énerve un peu plus niveau 3D comme par exemple dans la première course : lors du saut, Flash se retrouve à 1m50 hors du mur de projection, exemple marginal qui ne se reproduira plus par la suite, les 2-3 autres meilleures sorties ne dépassant plus les 1m hors du mur.
On appréciera un bon traitement 3D sur les fumées volumétriques qui sortent un peu hors de l'écran. Mais le meilleur effet 3D dans ce film réside dans les effets de projection d'éléments : lors des courses, le moindre frottement de châssis au sol se matérialise avec des étincelles qui se dirigent vers le spectateur.
Idem lors des séquences de drift dans la poussière du désert, avec des projections de terre vers le canapé, projections d'ailleurs très réussies.
Et ce sera en gros l'essentiel du registre des jaillissements constatés dans ce film.
1. | |
2. | |
3. | |
4. |
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home