Test Iron Man 3 Blu-ray 3D / Jaillissements 3D
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Jaillissements :
Après le passage en revue de l'effet de profondeur 3D dans le film, on décortique maintenant tous les effets de jaillissements présents dans le film.
Le premier niveau constaté s'illustre avec des débordements 3D réguliers d'éléments de décors, voire de personnages en dehors de l'écran : les sorties sont souvent subtiles (30 à 50 cm hors du mur), mais néanmoins régulières. C'est déjà mieux que rien, mais on attend bien sur plus de ce film !
La poursuite du visionnage permet de placer en revanche dans la 1ère demi-heure de longues séquences littéralement cultes sur de nombreux registres d'effets de jaillissements.
Tout d'abord une explosion en ville va permettre d'afficher de la braise en flottement dans la pièce via un jaillissement permanent très réussi.
Puis c'est avec bonheur que l'on peut jouir lors de l'attaque de Malibu de tirs de roquettes avec effets de jaillissements permanents, fumées volumétriques affichées au milieu de la pièce, objets volants projectiles et Iron Man s'affichant furtivement à 1 à 2 mètres hors du mur de projection.
Ensuite pendant cette longue et impressionnante de destruction massive, on a droit à une quantité très impressionnante de projections furtives d'éléments, poussière et autres particules.
Tout cela redonne indéniablement du baume au cœur, mais le mieux reste à venir : l'utilisation de l'effet 3D que nous considérons traditionnellement comme le plus immersif et artistique dans nos Blu-ray 3D : les jaillissements permanents de particules qui envahissent durablement toute la pièce.
Et bien le film nous propose la totale, avec les effets de jaillissements permanents qui plongent tout d'abord la pièce intégralement dans l'eau, puis ensuite en pleine tempête de neige !
Ainsi la narration nous entraine dans un premier temps sous l'eau, et on peut jouir de sympatiques effets de jaillissements permanents d'eau, de bulles et d'éléments explosés en suspension, affichés en plein milieu de la pièce : un régal !
Puis retour sur la terme ferme, et à peine remis de cette superbe séquence 3D, on accède au graal du registre : les effets de neige et flocons qui envahissent toute la pièce en 3D. De même qualité que ceux constatés dans le combat final de Resident Evil Retribution 3D, on constate qu'un plan sur deux est particulièrement bien étudié et exploité niveau jaillissement.
L'intensité de ces jaillissements 3D de neige se montrent juste un léger cran en dessous de ceux par exemple constatés au début de Hugo Cabret 3D, et notamment du dernier Gatsby 3D.
Ensuite le film repart dans des phases plus ou moins rythmées, dans l'obscurité, et on profitera en soutien pendant 70% du film, de débordements 3D (voire jaillissements permanents) d'objets ou de personnes d'intensité variable (souvent 30 cm, parfois plus d'un mètre), comme une arme pointée à l'extérieur, ou une main qui sort du mur.
Ce sont principalement ensuite les scènes d'action et de destruction de décors qui vont permettre d'insérer régulièrement des effets de projection de particules, de lasers, tirs d'armes en dehors du cadre.
A de nombreuses reprises dans les séquences aériennes, on surprendra le film à mettre en scène le même type d'effets de jaillissement arrière initiés à l'époque dans Avengers 3D, avec des éléments volants, qui semblent provenir de derrière le canapé, et traversent d'un coup toute la pièce vers l'avant l'espace d'une seconde.
Plus tard dans le film, on sera ravi de découvrir le retour des effets météo avec une 2e longue séquence de neige avec des flocons qui flottent également dans la pièce !
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