Test Makay, les aventuriers monde perdu 3D / Jaillissements 3D
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Jaillissements :
En ce qui concerne les effets de jaillissements, le film exploite très bien les effets de débordements 3D avec régulièrement des membres de l'expédition qui s'affichent en dehors de l'écran, souvent à 1 mètre hors du mur de visionnage d'ailleurs dans notre salle test.
On a même droit ponctuellement à du jaillissement permanent d'éléments naturels qui s'étendent parfois fortement hors du mur de visionnage, comme des branches, des feuillages, qui peuvent sortir ponctuellement de plus de 2m hors du mur.
Ces jaillissements donnent un caractère incroyablement immersif lors des traversées de la forêt luxuriante à la densité impénétrable. Ces séquences restent peu nombreuses à l'échelle du documentaire, mais lorsqu'on y a droit, on se retrouve projeté en plein milieu de l'expédition pour un réalisme incroyable, bougeant la tête pour éviter certains obstacles.
On notera aussi que certains jaillissements du début de l'histoire sont un peu mal calibrés et trop excessifs, donnant du mal lors de la mise au point et l’accommodation 3D effectuées par le cerveau. Mais ensuite tout s'arrange techniquement pour proposer une expérience parfaitement dosée. On notera aussi de rares artefacts lumineux sur certaines textures surexposées à la lumière.
Mention spéciale pour certaines séquences où les animaux ou insectes sont tendus par les scientifiques vers le spectateur en mode jaillissement rapproché du spectateur, ainsi que pour 2 séquences énormes de feu de camp avec de la fumée qui se propage partout dans la pièce de visionnage, parvenant presque à communiquer l'odeur du feu de bois.
On a même droit ponctuellement à du jaillissement permanent d'éléments naturels qui s'étendent parfois fortement hors du mur de visionnage, comme des branches, des feuillages, qui peuvent sortir ponctuellement de plus de 2m hors du mur.
Ces jaillissements donnent un caractère incroyablement immersif lors des traversées de la forêt luxuriante à la densité impénétrable. Ces séquences restent peu nombreuses à l'échelle du documentaire, mais lorsqu'on y a droit, on se retrouve projeté en plein milieu de l'expédition pour un réalisme incroyable, bougeant la tête pour éviter certains obstacles.
On notera aussi que certains jaillissements du début de l'histoire sont un peu mal calibrés et trop excessifs, donnant du mal lors de la mise au point et l’accommodation 3D effectuées par le cerveau. Mais ensuite tout s'arrange techniquement pour proposer une expérience parfaitement dosée. On notera aussi de rares artefacts lumineux sur certaines textures surexposées à la lumière.
Mention spéciale pour certaines séquences où les animaux ou insectes sont tendus par les scientifiques vers le spectateur en mode jaillissement rapproché du spectateur, ainsi que pour 2 séquences énormes de feu de camp avec de la fumée qui se propage partout dans la pièce de visionnage, parvenant presque à communiquer l'odeur du feu de bois.
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