Test Makay, les aventuriers monde perdu 3D / Image & Profondeur 3D
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Image & profondeur :
Tout d'abord on constate une palette de couleurs magnifique, avec une variété de teintes qui célèbrent la splendeur de cet éden naturel retranché. Les contrastes sont superbes, les noirs profonds même dans les séquences nocturnes ou d'exploration souterraines.
En ce qui concerne la gestion de la profondeur 3D, elle est incroyable sur 70% du film : on est confronté à une infinité de plans de vues avec une perception de distance, hauteur comme rarement vue auparavant dans les productions concurrentes, même encore à ce jour en 2013.
Les plans larges sont étourdissants, les points de vue en haut des canyons, rochers et montagnes proposent un horizon 3D souvent incroyable, doté d'une précision admirable, et rarement un film 3D n'aura autant apporté de sensations sur le ressenti du sentiment de vertige.Le détachement 3D est lui aussi exemplaire sur toute la durée.
Tout ceci permet au documentaire de frôler la perfection technique, frôler car sur les 30% restants du film, on a droit à des séquences où parfois la profondeur disparait ponctuellement, et des moments où son intensité est ponctuellement en baisse.
Une grande partie de ces séquences moins impressionnante est due principalement à l'utilisation forte de flou sur les arrière plan, principalement sur les plans rapprochés. De même certains plans larges aériens ont un aspect 2D décevant. Néanmoins tout ceci reste marginal.
Par ailleurs on trouvera de-ci de-là quelques rares séquences intégrées dans le montage, avec des séquences 100% en 2D qui jurent avec l'ensemble assez exceptionnel du reportage.
Au final une très grande 3D sur 70% du film, avec de nombreuses séquences cultes dotées d'une profondeur abyssale, comme lors des escapades dans les canyons, ou lors des explorations de grottes qui feront inévitablement penser à l'excellent Sanctum 3D.
En ce qui concerne la gestion de la profondeur 3D, elle est incroyable sur 70% du film : on est confronté à une infinité de plans de vues avec une perception de distance, hauteur comme rarement vue auparavant dans les productions concurrentes, même encore à ce jour en 2013.
Les plans larges sont étourdissants, les points de vue en haut des canyons, rochers et montagnes proposent un horizon 3D souvent incroyable, doté d'une précision admirable, et rarement un film 3D n'aura autant apporté de sensations sur le ressenti du sentiment de vertige.Le détachement 3D est lui aussi exemplaire sur toute la durée.
Tout ceci permet au documentaire de frôler la perfection technique, frôler car sur les 30% restants du film, on a droit à des séquences où parfois la profondeur disparait ponctuellement, et des moments où son intensité est ponctuellement en baisse.
Une grande partie de ces séquences moins impressionnante est due principalement à l'utilisation forte de flou sur les arrière plan, principalement sur les plans rapprochés. De même certains plans larges aériens ont un aspect 2D décevant. Néanmoins tout ceci reste marginal.
Par ailleurs on trouvera de-ci de-là quelques rares séquences intégrées dans le montage, avec des séquences 100% en 2D qui jurent avec l'ensemble assez exceptionnel du reportage.
Au final une très grande 3D sur 70% du film, avec de nombreuses séquences cultes dotées d'une profondeur abyssale, comme lors des escapades dans les canyons, ou lors des explorations de grottes qui feront inévitablement penser à l'excellent Sanctum 3D.
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