Test L'Odyssée de Pi 3D Blu-ray 3D / Image & Profondeur 3D
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Image & profondeur :
La projection débute sur des séquences basées sur un environnement de zoo animalier à Pondichéry : la palette colorimétrique parfaite, des noirs profonds, une luminosité irréprochable, un piqué exemplaire assurent immédiatement une qualité de spectacle qui promet d'être grandiose sur la durée.
Le format quasi idéal de 1.85 permet de profiter à chaque instant des environnements superbes que la narration va mettre en scène pendant ces 2 heures.
La première analyse porte dans cette section sur l'aspect technique consacré à la profondeur 3D. Les premières minutes dévoilent certains environnements différents de zoo au sein d'une végétation luxuriante de jour. Le premier constat qui se manifeste est que l'effet de profondeur est très bon, avec quelques avant goût qui peuvent éventuellement évoquer la qualité de certains reportages IMAX de nature, comme l'excellent Born to Be Wild 3D.
Les arrière-plans en extérieurs se montrent très bien définis et détaillés, et permettent de dégager une bonne perception des distances intermédiaires entre les différents plans. Une courte séquence sur un plan d'eau donne un rendu très naturel et authentique.
Naturel et authentique, les 2 mots qui résument parfaitement cette très belle profondeur 3D. En effet la suite de la narration nous entraine au sein d'environnements fermés ou intérieurs (maisons, bateau...) et la perception de profondeur est réaliste, sans excès, projetant le spectateur dans l'univers du film à la fois avec douceur et fermeté.
Certaines séquences narratives laissent apparaitre quelques flous sur certains arrière-plans (exemple lors de plan cadré sur Pi face à l'écrivain), et à de rares moments montrent à l'inverse un élément de premier plan un peu flouté pour forcer la mise au point sur le personnage situé en 2e plan.
Rien de très grave, et purement anecdotique, on rappelera qu'à de rares occasions le cultissime Titanic 3D proposait parfois également quelques flous ponctuels sur certains éléments de l'image imposés par la mise en scène.
Au bout de 35 minutes, l'histoire du film bascule et nous entraine dans un naufrage en temps réel, et à ce moment précis, le film sort du registre technique oscillant entre le bon et le très bon, pour atteindre l'excellence pure sur l'effet de profondeur.
Ainsi à partir du moment où le périple de Pi démarre littéralement en mer, le spectacle atteint un niveau visuel 3D rarement atteint à ce jour.
Tout commence déjà avec la séquence initiale mettant en scène le navire, l'équipage, et tous les animaux à son bord qui sont en proie à la tempête en mer. Les effets météo se traduisent de manière divine en 3D, et donnent un aspect photo-réaliste à tous les environnements captés.
Une séquence culte en 3D s'affiche juste après, lorsque Pi est aspiré et se retrouve flottant dans la mer en profondeur : il contemple de manière statique le navire lumineux s’enfonçant dans les profondeurs de la mer.
L'effet de profondeur 3D appliqué sur ces séquences est abyssal, tout comme le détachement 3D qui permet de rendre ultra réaliste tous les effets visuels affichés.
La beauté esthétique de ce passage rappellera les plus belles séquences de Titanic 3D pour certains, ou de Sanctum 3D pour d'autres.
On arrive ensuite au cœur du film, et on découvre l'environnement que l'on ne va pratiquement plus quitter pendant toute la narration : l'arche de fortune constituée par un canot de sauvetage.
Autant le dire tout de suite, les innombrables plans larges montrant le canot sur fond d'océan, de ciel bleu, et de nuages gris/bleu à l'horizon lointain, décollent la rétine par leur rendu 3D exceptionnel, dont l'affichage renvoie au couple infernal profondeur et détachement 3D.
La perception des volumes est incroyablement réaliste, aussi bien à bord du canot, que pour l'espace en mer : les différents niveaux de vagues se détachent parfaitement et l'horizon infini semble pourtant physiquement réel.
La suite de la narration dispense 2 types de séquences : celles à bord du canot et celles dans l'eau voire sous l'eau. Les séquences de cohabitation animalière sur le canot sont criantes de vérité, le tigre bénéficiant notamment d'un rendu 3D assez exceptionnel avec des textures, couleurs, et surtout un vrai effet de volume corporel à chaque instant.
Les séquences en surface de l'eau ou sous l'eau proposent elles-aussi un rendu 3D insolent qui de nouveau lorgnent vers la qualité des reportages IMAX de référence : il faut voir de ses yeux tous ces plans de caméras situées au niveau de la surface de l'eau, filmant 50% de l'environnement en surface, et 50% de l'environnement sous marin associé simultanément, engendrant une immersion assez bluffante.
Mention spéciale aussi dans cette section pour tous les passages qui mettent en scène de superbes effets météo : le niveau de détail 3D des éléments, associé au parfait détachement 3D lié fonctionnent à merveille !
Certaines séquences narratives laissent apparaitre quelques flous sur certains arrière-plans (exemple lors de plan cadré sur Pi face à l'écrivain), et à de rares moments montrent à l'inverse un élément de premier plan un peu flouté pour forcer la mise au point sur le personnage situé en 2e plan.
Rien de très grave, et purement anecdotique, on rappelera qu'à de rares occasions le cultissime Titanic 3D proposait parfois également quelques flous ponctuels sur certains éléments de l'image imposés par la mise en scène.
Au bout de 35 minutes, l'histoire du film bascule et nous entraine dans un naufrage en temps réel, et à ce moment précis, le film sort du registre technique oscillant entre le bon et le très bon, pour atteindre l'excellence pure sur l'effet de profondeur.
Ainsi à partir du moment où le périple de Pi démarre littéralement en mer, le spectacle atteint un niveau visuel 3D rarement atteint à ce jour.
Tout commence déjà avec la séquence initiale mettant en scène le navire, l'équipage, et tous les animaux à son bord qui sont en proie à la tempête en mer. Les effets météo se traduisent de manière divine en 3D, et donnent un aspect photo-réaliste à tous les environnements captés.
Une séquence culte en 3D s'affiche juste après, lorsque Pi est aspiré et se retrouve flottant dans la mer en profondeur : il contemple de manière statique le navire lumineux s’enfonçant dans les profondeurs de la mer.
L'effet de profondeur 3D appliqué sur ces séquences est abyssal, tout comme le détachement 3D qui permet de rendre ultra réaliste tous les effets visuels affichés.
La beauté esthétique de ce passage rappellera les plus belles séquences de Titanic 3D pour certains, ou de Sanctum 3D pour d'autres.
On arrive ensuite au cœur du film, et on découvre l'environnement que l'on ne va pratiquement plus quitter pendant toute la narration : l'arche de fortune constituée par un canot de sauvetage.
Autant le dire tout de suite, les innombrables plans larges montrant le canot sur fond d'océan, de ciel bleu, et de nuages gris/bleu à l'horizon lointain, décollent la rétine par leur rendu 3D exceptionnel, dont l'affichage renvoie au couple infernal profondeur et détachement 3D.
La perception des volumes est incroyablement réaliste, aussi bien à bord du canot, que pour l'espace en mer : les différents niveaux de vagues se détachent parfaitement et l'horizon infini semble pourtant physiquement réel.
La suite de la narration dispense 2 types de séquences : celles à bord du canot et celles dans l'eau voire sous l'eau. Les séquences de cohabitation animalière sur le canot sont criantes de vérité, le tigre bénéficiant notamment d'un rendu 3D assez exceptionnel avec des textures, couleurs, et surtout un vrai effet de volume corporel à chaque instant.
Les séquences en surface de l'eau ou sous l'eau proposent elles-aussi un rendu 3D insolent qui de nouveau lorgnent vers la qualité des reportages IMAX de référence : il faut voir de ses yeux tous ces plans de caméras situées au niveau de la surface de l'eau, filmant 50% de l'environnement en surface, et 50% de l'environnement sous marin associé simultanément, engendrant une immersion assez bluffante.
Mention spéciale aussi dans cette section pour tous les passages qui mettent en scène de superbes effets météo : le niveau de détail 3D des éléments, associé au parfait détachement 3D lié fonctionnent à merveille !
On finira enfin par relever les quelques séquences énormes, elles-aussi, de rêves éveillés, ou d'hallucinations dont Pi est victime, qui se matérialisent par des délires visuels en 3D avec d'excellents effets de superpositions.
Ainsi une ultime scène avec la mer devenue translucide, illuminée de milliers de méduses luminescentes, avec un effet de transparence et profondeur 3D sidérant, finira de vous achever si ce n'était pas déjà le cas !
Ainsi une ultime scène avec la mer devenue translucide, illuminée de milliers de méduses luminescentes, avec un effet de transparence et profondeur 3D sidérant, finira de vous achever si ce n'était pas déjà le cas !
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