Parodie d'affiche "Ma vie n'est pas comédie"

.......Originale ...

Date de sortie : 19 décembre 2007

Avec Gilles Lellouche, Marie Gillain, Stéphanie Sokolinski

Film français.
Genre : Comédie, Romance
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Parodie catégorie : Humour Absurde
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-Synopsis Halluciner :

"Si sa vie ressemblait un peu plus à une comédie romantique, le Terminator se ferait un peu moins larguer. Il sortirait avec une fille formidable, avec Helen Ripley par exemple. Ils s'aimeraient pour toujours et jamais il ne la retrouverait au lit avec un autre type. Du coup, il n'aurait pas besoin de retourner vivre chez ses parents à 35 ans.
Sarah Connors, elle, pensait que sa vie était une comédie romantique. D'ailleurs, c'est comme ça qu'elle s'est retrouvée mère célibataire à 17 ans d’un petit John. Mais depuis, Sarah a craqué et a sombré dans la dépression. Elle est désormais soignée dans un hôpital psychiatrique. Après tout que demander de plus à la vie ?
Le problème c'est qu'un jour le Terminator rencontre Sarah dans cet asile de fou et que depuis ce jour maudit, leur vie se met affreusement à ressembler à une comédie romantique (...)"

Note globale Presse :..............

-Le Figarose : "« Ma vie n’est pas une comédie romantique » mise avant tout sur une action musclée et décérébrée, au grand dam des intellos, qui n’y verront qu’un nième film d’action (...)"

-Labération : "Un film avec un T800, cela a toujours été un genre qui me ‘botte’ et qui me fait ‘cuir’ à petit feu…question de look en fait (…)"

-Psycho-Logis :"Un vrai plaisir nostalgique de voir revivre le Terminator sous nos yeux ébahis : cette comédie sentimantale est du coup une fiction d’anticipation qui dénoncent les citoyens qui ‘agissent comme des robots’ (...)"

-Le Cadenas Enchainé : "Une parodie sulfureuse de Terminator « à l’acide » : fatalement il finira en « bouillie », car « sa chair est faible » (…)"

-Vidéotutur : "Joli rôle souvenir de composition pour Schwarzy : il nous signe ici un retour fracassant en ‘acier trempé’ (...)"

-L'Ecran Enplastique : "La trame scénaristique est épuisante : on finit le film « complètement anéanti », épuisé, et on sort de la salle avec un méchant coup de (fusil à) pompe, accessoirement (...)"

-l'Expresso : "Schwarzy est véritablement increvable : il nous poursuit et nous ligote de partout au cinéma. Même si on coupe la chaîne, il revient de plus belle : c’est le problème des « ‘chaînes’ autrichiens » (...)"

-Le Parigo : "Ce film m’a revigoré de fond en comble : j’en suis sorti requinqué, avec une irrésistible envie de « rouler des mécaniques »…normal non ? (…)"

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