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Tests Blu-ray 4K UHD & Blu-ray 3D Halluciner.fr Tests Blu-ray 3D - Blu-ray 4K Ultra HD Halluciner.fr






Test Wonder Woman 1984 Blu-ray 3D / Conclusion & Bilan 3D


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Note
5/5
Bilan 3D :
Voilà certainement la meilleure sortie 3D du semestre en terme de nouveautés Blu-ray 3D (vous me direz qu'il n'y a que celle-ci mais trève de plaisanterie ^^) ! Warner semble avoir mis les petits plats dans les grands en nous proposant un 2e opus amélioré de cette célèbre franchise initiée il y a déjà 4 ans dans nos univers 3D avec Wonder Woman 3D ! Nous allons voir ensemble que la dotation 3D offerte dans ce Wonder Woman 1984 3D dépasse celle du 1er épisode, et mérite certainement qu'on s'y intéresse de prêt ! C'est exactement notre cas dans les paragraphes suivants, où on vous décrit précisément l'expérience 3D qui vous attend ! 3, 2, 1... c'est parti !

On se penche tout d'abord sur l'effet de profondeur 3D ! Sans surprise ils sont magnifiques ! Cela faisait longtemps que l'on n'avais pas assisté à une telle précision dans le rendu des volumes et des positions 3D ! Dès les premières minutes sur l'île des amazones, les plans panoramiques mettent ko avec une spatialisation 3D exceptionnelle : rivage, plage, falaise, village perché, colline, temple, arches... on l'impression d'être un géant devant une maquette miniature où on distingue tout de manière hyper réaliste. Il faut dire que le studio frappe très fort en plus car on jubile devant un format hybride très ouvert en 1.90 ! Retour ensuite sur le classique 2.39 pour une suite du film qui permet de profiter des plans larges ou semi-larges qui bénéficient également d'un détachement 3D exceptionnel ! Lorsque l'on regarde chaque plan, on ne distingue plus le découpage d'une infinité de plans progressifs intra-image, et on remarque du relief partout, avec des contours toujours bien appuyés ! Car si les extérieurs irradient, que dire des intérieurs qui rendent une copie parfaite sur la démonstration du détachement 3D ! On prend une séquence dans une pièce, par exemple la Maison Blanche et tout saute aux yeux : la position, la taille des fauteuils, la distance avec le bureau du président, la distance au loin du mur de fond, l'espacement des tableaux, la profondeur d'une porte ouvert sur un couloir ! Les séquences dans le centre  commercial sont magnifiques dans ce sens : volume et effet de hauteur du haut d'un balcon du 1er étage, effet de longueur et de descente lorsqu'on emprunte avec l'héroïne un escalator etc... On profite véritablement d'un spectacle premium, coloré, précis et parfaitement mis en volume pour que tout semble confondant de réalisme ! Et ce sur toute la pellicule, dans tous les environnements ! C'est rare d'avoir une profondeur en conversion 3D aussi aboutie sur tous les types de plans, en intérieur, en extérieur, de nuit ou de jour, en plans larges ou non, car même les plans rapprochés ne souffrent que du minimum syndical concernant les flous d'arrière-plans ! Du grand spectacle 3D !
 
Quid des effets de jaillissements 3D ? C'est de nouveau une bonne pioche dans ce film ! Même si la dotation se montre ponctuelle et mesurée en terme de quantité ou d'intensité, on appréciera qu'elle s'intègre toujours parfaitement à l'action, avec quelques très belles envolées marquantes ! Tout d'abord le film use d'un niveau honorable de débordements et de jaillissements permanents : une partie des premiers plans sont poussés en dehors de l'écran, de 50cm à 1m et cela concerne souvent des objets ou des bustes. On a par exemple des séquences de foule un peu forte en intensité avec tous les déplacements du premier plan à plus d'1m50, bustes latéraux ou de dos : forcement on a des windows conflicts avec des personnages tronqués et coupant les bords puisque zoomés à mort mais peu importe, au moins cela sort de l'écran ! Et puis il y les jaillissements d'écran qui marquent plus et que l'on retient, dont quelques séquences top démo : prenons par exemple une séquence sur le quai d'un métro, avec le train qui surgit en jaillissement permanent sur le côté droit de la salle et qui traverse rapidement toute la salle en oblique ! Très bon cela ! On a ensuite les séquences d'action au lasso magique qui font la part belle aux jaillissements permanents ou projections selon la vitesse d'apparition : super de voir furtivement le lasso venir faire des boucles en plein milieu de la pièce, voire lécher le spectateur (sur une TV 3D il va falloir bien se mettre à 1m50 de l'écran pour tout capter). Une autre séquence top démo : un travelling jaillissements en vol dans le ciel en traversant des centaines de feux d'artifice qui explosent au milieu de la pièce, et qu'on a l'impression d'esquiver avec la tête ! Cela fait penser ensuite à pas mal de séquences de brumes, nuages ou fumées qui peuvent parfois sortir à plus de 2m50 de l'écran (canapé positionné à 3m50 de la base) et qui brouillent bien la vue ! Immersion garantie ! On a aussi une séquence de tir en bullet-time avec la balle qui se déplace dans le décor pendant qu'elle reste flottante et encrée au milieu de la pièce dans les airs ! On trouve aussi quelques passages avec des projections de débris, éclats de bois et autres lors d'explosions. Idem avec des jaillissements permanents de bulles lors d'une séquence aquatique avec Diana ! Au final une palette simple, efficace et agrémentée de petits moments de bravoure rares et dont il faudra profiter très rapidement. 

Au final Wonder Woman 1984 3D signe le grand retour de la 3D diffusée et enfin vendue dans nos bacs français ! Avec en prime un 2e opus supérieur au premier avec notamment une profondeur 3D cette fois académique et souvent exceptionnelle dans le traitement de ses volumes 3D, ainsi que 4-5 grands moments de jaillissements ! Alléluia et merci Warner pour ce joli cadeau qui va redonner du baume au cœur à tous les fans de 3D worldwide ! Sortie imminente en combo 3D et 4K, il va sans dire que l'achat est incontournable ! Vous le trouverez sur notre partenaire amazon.fr via ce lien sponsorisé ici ! Vous avez même la chance d'avoir en exclu le test 4K UHD de Wonder Woman 1984 par notre spécialiste 4K Brice aka loup célèste de HCFR ! A très vite et bonne 3D mes amis !

Franck Lalane

Les points forts (+)
    • Intensité de la 3D insolente sur le registre de la profondeur et du détachement
    • Décors d'une grande netteté et précision, même avec un affichage de l'horizon à perte de vue
    • Profondeur de champ 3D verticale  exploitée au maximum : séquences de vertige et hauteur
    Le détachement 3D par excellence
    •  Quelques éléments de premiers plans qui sortent en débordements et jaillissements permanents jusqu'à 1m50 hors du mur
    Des effets de jaillissements type projections (poussières, éclats, lasso...)
    Des jaillissements permanents avec des éléments qui flottent au milieu de la pièce (balle, lasso, train, feux d'artifice...)
    • Quelques travellings jaillissements réussis lors des déplacements dans les airs (feux d'artifice en avion)
    • L'introduction (et la fin) au format royal 1.90 !

Les points faibles (-)
    • Quelques flous d'arrière-plans en plans rapprochés et manque un peu de jaillissements dans l'ensemble

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jeudi, mars 25, 2021


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