Test Thor Ragnarok Blu-ray 3D / Image & Profondeur 3D

1.	Introduction
2.	Note Image & profondeur 3D
3.	Note Jaillissements 3D
4.	Conclusion & Bilan 3D

IMAGE & PROFONDEUR 3D :

Note 5/5 Profondeur :   Premier tour de piste en ce qui concerne tout d'abord les qualités plastiques de l'image : les noirs sont excellents avec un très bon niveau de contraste, la palette de couleurs est caractéristique de la franchise et la luminosité très bien gérée ! On se penche maintenant sur l'effet de profondeur 3D : on découvre des univers classiques sombres et pourtant miracle dans cette franchise 3D qui s'est toujours montrée poussive par le passé, avec une profondeur 3D superbe ! C'est la vraie révélation de ce début d'année en 3D : Thor 3 3D s'est payé un nouveau costume 3D et une conversion 3D premium digne des meilleures. Pour résumer l'expérience, on profite de manière générale d'une profondeur 3D assez exceptionnelle sur la durée au travers des 2 types d'environnement : lumière ou pénombre ! Tout d'abord on trouve des plans larges et panoramiques top démo : ceux au dessus des villes et autres contrées sauvages sont fantastiques avec un détachement 3D et un niveau de détail délirant : ils sont souvent très lumineux et cette visibilité est parfaitement exploitée. Idem pour les plans semi-larges en environnements lumineux qui montrent une absence totale de flou sur les arrière-plans. Même les plans rapprochés limitent comme rarement l'usage des flous. Et puis à côté on a 30% du film qui se déroule dans la pénombre : c'est là que le miracle intervient car si dans les 2 premiers opus la profondeur y était misérable, ici on reste encore dans le top démo. Le studio de conversion a enfin compris comme accentuer le détachement 3D entre les calques dans la pénombre : il s'ensuit une spatialisation superbe dans tous les intérieurs de rochers ou autres environnements cosmiques. Et cela marche aussi bien pour les plans larges que les plans semi-larges : un vrai régal de profiter d'une telle volumétrie en obscurité, résultat que l'on n'avait pas retrouvé depuis le top démo en la matière La Belle et la Bête 2017 3D ! Enfin, impossible de passer à côté une performance incroyable sur la durée : l'élimination de tous les flous sur les arrière-plans : un mystère qui dope la spatialisation 3D comme rarement ! Au final une profondeur 3D top démo sur les 2H du film à savourer au plus vite : une perfection rarement atteinte en matière de 3D, secondée par un détachement 3D et une absence de flous sur les arrière-plans historiques !

1.	Introduction
2.	Note Image & profondeur 3D
3.	Note Jaillissements 3D
4.	Conclusion & Bilan 3D

1. Introduction

3. Jaillissements 3D