Test Les Cinq légendes 3d Blu-ray 3D / Image & Profondeur 3D
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PROFONDEUR 3D :
Image & profondeur :
Les premières minutes de visionnage montrent un piqué redoutable sur l'image, un niveau de contraste excellent, des noirs puissants et une palette colorimétrique très efficace. Un très bon point préliminaire.
Le constat d'un format d'image royal, le 1.78 constitue lui aussi une excellente surprise en ces périodes restrictives avec un format 2.40 qui envahit de plus en plus les super productions de la catégorie films d'animation 3D (mais aussi les films live action). On se prépare immédiatement à un spectacle de qualité dont on ne ratera vraisemblablement pas une miette !
Il est temps de s'intéresser au registre de la profondeur 3D constatée dans le film. Dès les 10 premières minutes, une évidence s'impose rapidement d'elle-même : le film maitrise à la perfection l'effet de profondeur.
Dès premières images où l'on découvre un environnement extérieur obscure, avec un décor qui se tient au dessus d'un lac gelé, aux premières séquences qui se tiennent dans des intérieurs plus ou moins lumineux, le constat est le même : on a un excellent sentiment d'espace et de spatialisation, une parfaite perception des niveaux de hauteur et profondeur.
Ainsi les séquences qui révèlent le QG du Père Noël sont très réussies, avec un imposant globe terrestre central représentant des milliers de points lumineux à la surface et une bonne impression de volume général.
Plus tard les séquences qui prennent place de nuit dans les chambres d'enfants sont criantes de vérité et rappellent incontestablement celles homologues du dernier Monstres & Cie 3D qui propose un excellent effet de profondeur 3D équivalent.
La découverte par la suite des nombreux environnements extérieurs de jour dans des décors d'une variété incroyable s'accompagne d'une satisfaction intense liée au réalisme optimal que cette profondeur 3D engendre : efficace en toutes circonstances, il semble bien difficile de lui reprocher quoi que ce soit, et ce ne sont pas quelques minimes flous très ponctuels sur quelques arrières plans lors de gros plans sur des personnages qui entacheront l'excellence qui s'impose au niveau de la profondeur 3D.
Ainsi de nombreux environnements déclenchent une véritable claque visuelle 3D, comme par exemple le château de la Fée des dents, ou le royaume sombre de Noirceur, le croque-mitaine de ce conte fantastique.
Dans le premier, les couleurs explosent, et la hauteur de ce domaine des fées qui s'étend sur des centaines de mètres en hauteur donnent le tournis grâce à se somptueux travellings 3D qui permettent une excellente immersion. Dans le deuxième, on retrouve les mêmes ingrédients d'un environnement qui s'étend sur des hauteurs insondables avec un effet de profondeur 3D optimal, que la forte pénombre ambiante ne parvient même pas à réduire au niveau intensité !
On appréciera notamment dans la première partie du film une séquence de glisse en luge dans les rues tout bonnement incroyable visuellement au niveau 3D, avec une perception ultra réaliste de la tournure des événements.
Une autre composante positive constitutive de ce film demeure les innombrables séquences de vol, course-poursuite dans les airs et autres affrontements aériens, de jour comme de nuit : la maitrise impressionnante des caméras, des travellings et de la 3D affichée à ces moments permet de constituer un spectacle de haut vol en permanence !
Un autre critère lui aussi touche la perfection dans ce film : le détachement 3D qui permet de percevoir en permanence les distances qui séparent chaque élément, personnage, décor ou effet de particule au sein des scènes.
Une ultime surprise de taille s'invite tout le long du visionnage: des effets météo 3D de référence qui s'affichent de manière parfaitement détachée, lisible et ultra-réaliste jusqu'à l'infini dans ces décors extérieurs souvent gigantesques. |
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