Test La Colère des Titans / Jaillissements 3D
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Jaillissements :
Les effets de jaillissements sont à l'honneur malgré leur codage en post-production, et ces quelques effets sont généralement très bien intégrés pour flatter brièvement le spectateur. Tout d'abord le film propose des jaillissements incroyables de particules de cendres incandescentes sur de nombreuses scènes de brasier : on les voit jaillir et flotter dans la pièce de toutes parts. Cette représentation fait partie des meilleures du genre, avec notamment les cendres flottantes de l'Arbre Ancien dans Avatar 3D, les cendres des vampires consumés dans Fright Night 3D, ou alors les particules de neige et flocons dans les films qui exploitent cet effet de jaillissement permanent, comme Hugo Cabret 3D.
Ensuite le film est très généreux sur le registre des débordements avec des visages ou des bustes qui sont avancés lors de dialogues. On bénéficiera de nombreux plans avec vue de dessus où l'on verra les cimes des arbres transpercer le mur de visionnage. On retiendra surtout lors des combats, des éléments et membres des personnages qui traversent le mur, une scène avec Pégase en jaillissement permanent, et d'innombrables effets de projections de poussières, débris à la fin de chaque grande bataille. Le défaut classique des effets de jaillissements intégrés à postériori est qu'ils manquent souvent de netteté et définition, et c'est le cas ici. C'est toujours un peu moins gênant sur des effets de projection avant furtifs car seul l’œil averti saura le remarquer dans le feu de l'action.
Une autre scène a bénéficié d'un traitement technique en CGI exceptionnel au début du film : un traveling infernal de la surface de la terre qui plonge la caméra dans les entrailles de l'enfer : on assiste à du jaillissement assez violent de la scène avec les rochers qui s'étirent à proximité du canapé pendant que les décors défilent à toute vitesse et débordent de toute part : 15 secondes de pur bonheur ! Les nombreuses scènes de survol et autres travelings d'altitude mettront régulièrement en scène des jaillissements permanents de brouillard et autres particules comme lors du combat final.
Ensuite le film est très généreux sur le registre des débordements avec des visages ou des bustes qui sont avancés lors de dialogues. On bénéficiera de nombreux plans avec vue de dessus où l'on verra les cimes des arbres transpercer le mur de visionnage. On retiendra surtout lors des combats, des éléments et membres des personnages qui traversent le mur, une scène avec Pégase en jaillissement permanent, et d'innombrables effets de projections de poussières, débris à la fin de chaque grande bataille. Le défaut classique des effets de jaillissements intégrés à postériori est qu'ils manquent souvent de netteté et définition, et c'est le cas ici. C'est toujours un peu moins gênant sur des effets de projection avant furtifs car seul l’œil averti saura le remarquer dans le feu de l'action.
Une autre scène a bénéficié d'un traitement technique en CGI exceptionnel au début du film : un traveling infernal de la surface de la terre qui plonge la caméra dans les entrailles de l'enfer : on assiste à du jaillissement assez violent de la scène avec les rochers qui s'étirent à proximité du canapé pendant que les décors défilent à toute vitesse et débordent de toute part : 15 secondes de pur bonheur ! Les nombreuses scènes de survol et autres travelings d'altitude mettront régulièrement en scène des jaillissements permanents de brouillard et autres particules comme lors du combat final.
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