Test Hugo Cabret Blu-ray 3D / Jaillissements 3D
1. | |
2. | |
3. | |
4. |
Jaillissements :
Je me préparais à un film sans jaillissement, ce qui n'aurait pas été gênant vu l'atmosphère forte dégagée par la profondeur, mais de nombreux débordements et jaillissements, tantôt discrets, tantôt très prononcés, viennent s'inviter avec surprises dans certaines scènes, et permettent de parachever la perfection artistique de l'ensemble.
Je préfère encore prévenir que ce film n'est pas un film de jaillissements prononcés, c'est un alter égo d'AVATAR, avec un niveau modéré mais presque constant de débordements et de jaillissements permanents d'intensité légère à modérée. Parlons déjà des flocons de neige qui flottent sur de nombreux plans tout le long du film : les meilleurs existants à ce jour, d'un naturel à concurrencer les effets de cendres volant dans Avatar 3D.
Sauf que des plans avec cette poudre de neige flottante, il y a en des dizaines de secondes à plusieurs reprises, pour bien avoir le temps de capturer la perfection visuelle de ces petits moments, intérieurs (avec quelques flocons qui sont emprisonnés dans la gare), ou extérieurs avec une profusion de flocons qui flottent dans toutes la pièce en pur jaillissement : superbe !
Ensuite on découvre des têtes qui sortent intégralement de l'écran pendant que leurs personnages parlent, (le policier), dont une dernière fois à la fin de film (de manière admirable, il penche la tête et le buste et se rapproche progressivement de vous et du canapé à la limite de la proximité), les scènes avec le doberman policier qui jaillit de 1 à 2 mètre de la salle de test en pointant la truffe vers le canapé (à 3 reprises à des moments distincts), des mouvements de pendules et autres mécanismes, l'automate...Beaucoup de débordements de décors se greffent régulièrement avec discrétion.
Pour finir quelques séquences proposent une fumée volumétrique impressionnante en jaillissement, de véritables nappes qui se dispersent subtilement en jaillissement de premier plan : elles restent parfaitement intégrées, mais moins impressionnantes techniquement que les fumées de cigarettes dans Harold & Kumar 3D qui jaillissent de manière plus extrême).
Je préfère encore prévenir que ce film n'est pas un film de jaillissements prononcés, c'est un alter égo d'AVATAR, avec un niveau modéré mais presque constant de débordements et de jaillissements permanents d'intensité légère à modérée. Parlons déjà des flocons de neige qui flottent sur de nombreux plans tout le long du film : les meilleurs existants à ce jour, d'un naturel à concurrencer les effets de cendres volant dans Avatar 3D.
Sauf que des plans avec cette poudre de neige flottante, il y a en des dizaines de secondes à plusieurs reprises, pour bien avoir le temps de capturer la perfection visuelle de ces petits moments, intérieurs (avec quelques flocons qui sont emprisonnés dans la gare), ou extérieurs avec une profusion de flocons qui flottent dans toutes la pièce en pur jaillissement : superbe !
Ensuite on découvre des têtes qui sortent intégralement de l'écran pendant que leurs personnages parlent, (le policier), dont une dernière fois à la fin de film (de manière admirable, il penche la tête et le buste et se rapproche progressivement de vous et du canapé à la limite de la proximité), les scènes avec le doberman policier qui jaillit de 1 à 2 mètre de la salle de test en pointant la truffe vers le canapé (à 3 reprises à des moments distincts), des mouvements de pendules et autres mécanismes, l'automate...Beaucoup de débordements de décors se greffent régulièrement avec discrétion.
Pour finir quelques séquences proposent une fumée volumétrique impressionnante en jaillissement, de véritables nappes qui se dispersent subtilement en jaillissement de premier plan : elles restent parfaitement intégrées, mais moins impressionnantes techniquement que les fumées de cigarettes dans Harold & Kumar 3D qui jaillissent de manière plus extrême).
1. | |
2. | |
3. | |
4. |
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home