Test Destination Finale 4 Blu-ray 3D / Image & Profondeur 3D
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Image & profondeur :
Une profondeur remarquable sur la majorité des scènes. Le réalisateur David R.Ellis propose un film de référence sur la colorimétrie, la luminosité et le traitement de la profondeur sur les environnements.
La séquence d'ouverture sur une course de Nascar est bluffante de réalisme, montrant des volumes gigantesques réalistes avec une superbe profondeur. On regrette juste le format 2.40:1 utilisé. La séquence filmée dans la piscine constitue aussi un passage top démo, digne des meilleurs documentaires sous-marins comme IMAX Under the Sea 3D.
Seul petit reproche : l'abus traditionnel que l'on retrouve sur la majorité des productions blu-ray 3D actuelle, où le réalisateur floute les arrières plans sur les séquences de gros plans sur un visage, un buste, pendant les discussions par exemple. Cette technique forcée d'imposer la mise au point au spectateur sur ces plans dégradent immédiatement la perception de profondeur en arrière plan.
On le remarque particulièrement sur les films où la profondeur est de très grande qualité, justement parce que le contraste avec ces séquences floutées (lors de focus sur un détail) est souligné. Néanmoins on remarquera que ce défaut est un peu plus présent sur le nouvel opus Destination Finale 5 3D, ce qui n'est pas une surprise car ce dernier propose beaucoup plus de plans rapprochés, d'environnements confinés et obscures.
Le nouveau hit 3D Avengers 3D, qui possède une des plus belles profondeurs à ce jour, est aussi frappé de ce petit défaut dans sa 1ère partie.
La séquence d'ouverture sur une course de Nascar est bluffante de réalisme, montrant des volumes gigantesques réalistes avec une superbe profondeur. On regrette juste le format 2.40:1 utilisé. La séquence filmée dans la piscine constitue aussi un passage top démo, digne des meilleurs documentaires sous-marins comme IMAX Under the Sea 3D.
Seul petit reproche : l'abus traditionnel que l'on retrouve sur la majorité des productions blu-ray 3D actuelle, où le réalisateur floute les arrières plans sur les séquences de gros plans sur un visage, un buste, pendant les discussions par exemple. Cette technique forcée d'imposer la mise au point au spectateur sur ces plans dégradent immédiatement la perception de profondeur en arrière plan.
On le remarque particulièrement sur les films où la profondeur est de très grande qualité, justement parce que le contraste avec ces séquences floutées (lors de focus sur un détail) est souligné. Néanmoins on remarquera que ce défaut est un peu plus présent sur le nouvel opus Destination Finale 5 3D, ce qui n'est pas une surprise car ce dernier propose beaucoup plus de plans rapprochés, d'environnements confinés et obscures.
Le nouveau hit 3D Avengers 3D, qui possède une des plus belles profondeurs à ce jour, est aussi frappé de ce petit défaut dans sa 1ère partie.
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