Test Kingdom of Plants 3D blu-ray 3D ( review )
Titre Blu-ray 3D | Kingdom of Plants 3D Blu-ray 3D |
Date de sortie | 16/07/12 (UK) |
Format | |
Version testée | Anglaise |
Région | |
Audio : Anglais | |
Audio : Français | Aucun (pas de sous-titre) |
Appréciation Globale 3D | EXCELLENT |
Introduction :
3D technology reveals a whole new dimension in the lives of plants, from
the most bizarre to the most beautiful. In this sensational series,
shot over the course of a year, David Attenborough explores their
fascinating world. Using 3D time-lapse and pioneering techniques in 3D
macro photography, he traces them from their beginnings on land to their
vital place in nature today, exposing new revelations along the way.
David Attenborough a filmé pendant plus d'un an au moyen de caméras 3D de dernière génération toutes les diversités de plantes et fleurs présentes au Royal Botanic Gardens, qui collecte plus de 90% des espèces végétales dans le monde. Le spectateur découvre une nouvelle dimension de cet univers micro qui se révèle macro par la magie de zooms incroyables. La qualité de l'information scientifique présentée est comme toujours exceptionnelle avec David Attenborough ! Le temps de passer de l'horloge humaine à celle végétale est venu !
Image & profondeur :
Tout d'abord il faut relever le niveau de détail hallucinant de l'image : les couleurs chatoyantes irradient l'image, le piqué est d'un niveau incroyable, les noirs abyssaux, les contrastes solides.
Vient ensuite la découverte du traitement de la profondeur : magistral ! Les perspectives sont parfaites, le niveau de détachement entre chaque pétale, chaque fleur, chaque branche qui compose la plante est incroyable. La perception de l'arrière plan lointain touche la perfection lors des vues aériennes qui montrent le Royal Botanic Gardens, ses allées, ses serres, et environnements alentours : on se représente réellement les paysages et l'impression d'être au premier plan de ces cartes postales visuelles est saisissante.
Les séquences montrant David A. en train de commenter demeurent les plus impressionnantes, car ces séquences proposent le plus grand champ et permettent à la profondeur de s'exprimer idéalement, alors que la profondeur est mécaniquement moins prononcée lors de zooms de niveau insensé sur une plante. On saluera aussi l'incroyable technique qui simule la vision des couleurs des insectes et montrent leurs perceptions filtrée de bleu et de jaune donnant une toute autre réalité au monde des insectes !
Vient ensuite la découverte du traitement de la profondeur : magistral ! Les perspectives sont parfaites, le niveau de détachement entre chaque pétale, chaque fleur, chaque branche qui compose la plante est incroyable. La perception de l'arrière plan lointain touche la perfection lors des vues aériennes qui montrent le Royal Botanic Gardens, ses allées, ses serres, et environnements alentours : on se représente réellement les paysages et l'impression d'être au premier plan de ces cartes postales visuelles est saisissante.
Les séquences montrant David A. en train de commenter demeurent les plus impressionnantes, car ces séquences proposent le plus grand champ et permettent à la profondeur de s'exprimer idéalement, alors que la profondeur est mécaniquement moins prononcée lors de zooms de niveau insensé sur une plante. On saluera aussi l'incroyable technique qui simule la vision des couleurs des insectes et montrent leurs perceptions filtrée de bleu et de jaune donnant une toute autre réalité au monde des insectes !
Jaillissements :
Le documentaire exploite principalement le registre du débordement, de la manière la plus incroyable depuis Avatar 3D. Les plantes et fleurs débordent de l'écran en permanence, les branches pointent hors du mur, les pétales s'ouvrent et s'étendent au lever du jour à 50 cm, parfois même 1 mètre au delà de votre mur de visionnage, et ce pendant tout le documentaire !
Jamais l'univers du micro n'aura paru aussi réaliste et proche de vous, par le biais de cadrages optimaux et toujours centrés à la perfection sur les fleurs ou plantes concernées. Cette utilisation est faite d'une manière soft et parfaitement immersive de la même manière que la découverte de Pandora illustrait subtilement des débordements voire quelques jaillissements permanents parfois parfaitement amenés et jamais violents ou brutaux. Les séquences avec des arbres qui voient chaque branche sortir du mur, ou celle d'un cactus avec toutes ces épines pointées en dehors sont légions et il est impossible de les recenser tellement elles sont nombreuses dans ce reportage de 3H30, oui vous avez bien lu, 3H30 !
Le summum du documentaire qui égale l'IMAX par sa beauté, mais met une forte correction aux documentaires IMAX concernant la durée ! Le seul défaut de Kingdom of Plants 3D : sa durée incroyable révélant une profusion de détails passionnants, finit au bout d'une heure par vous rendre blasé de tant de débordements, et on finit presque par ne plus les apprécier à leur juste valeur ou ne plus les remarquer puisque dès le début du documentaire, le repère stéréographique de position neutre est déjà décalé de quelques centimètres devant l'écran.
Le documentaire étant fragmenté en 3 épisodes, il est recommandé de les regarder séparément pour en apprécier cette composition esthétique et technique sur la durée.
Enfin les séquences avec David A. assis ou penché, en débordement voire jaillissement devant l'écran sont incroyables, et donnent l'impression qu'il parle réellement devant nous dans la pièce, sentiment renforcé par cette profondeur incroyable sur les plans d'ensemble.
Il ne manquerait que quelques jaillissements plus prononcés des plantes pour s'approcher d'une certaine perfection.
Jamais l'univers du micro n'aura paru aussi réaliste et proche de vous, par le biais de cadrages optimaux et toujours centrés à la perfection sur les fleurs ou plantes concernées. Cette utilisation est faite d'une manière soft et parfaitement immersive de la même manière que la découverte de Pandora illustrait subtilement des débordements voire quelques jaillissements permanents parfois parfaitement amenés et jamais violents ou brutaux. Les séquences avec des arbres qui voient chaque branche sortir du mur, ou celle d'un cactus avec toutes ces épines pointées en dehors sont légions et il est impossible de les recenser tellement elles sont nombreuses dans ce reportage de 3H30, oui vous avez bien lu, 3H30 !
Le summum du documentaire qui égale l'IMAX par sa beauté, mais met une forte correction aux documentaires IMAX concernant la durée ! Le seul défaut de Kingdom of Plants 3D : sa durée incroyable révélant une profusion de détails passionnants, finit au bout d'une heure par vous rendre blasé de tant de débordements, et on finit presque par ne plus les apprécier à leur juste valeur ou ne plus les remarquer puisque dès le début du documentaire, le repère stéréographique de position neutre est déjà décalé de quelques centimètres devant l'écran.
Le documentaire étant fragmenté en 3 épisodes, il est recommandé de les regarder séparément pour en apprécier cette composition esthétique et technique sur la durée.
Enfin les séquences avec David A. assis ou penché, en débordement voire jaillissement devant l'écran sont incroyables, et donnent l'impression qu'il parle réellement devant nous dans la pièce, sentiment renforcé par cette profondeur incroyable sur les plans d'ensemble.
Il ne manquerait que quelques jaillissements plus prononcés des plantes pour s'approcher d'une certaine perfection.
Bilan :
Une phrase d'accroche sur la jaquette avait attiré mon attention : "L'utilisation de la 3D la plus immersive depuis Avatar 3D". Force est de constater que cet argument n'a rien de marketing et reflète la réalité intrinsèque de ce reportage, qui se hisse d'emblée parmi les meilleurs productions concurrentes IMAX comme le dernier IMAX Born to Be Wild 3D (qui bénéficiait de forts jaillissements mais de moins de profondeur). D'un contenu pédagogique rarement atteint, et se posant directement comme la référence actuelle scientifique sur ce sujet des fleurs et plantes, Kingdom of Plants use d'une 3D magistrale, douce et parfaitement immersive pour vous plonger au cœur de cette nature presque microscopique par le biais d'une profondeur et de débordements incroyables. Par contre de par la nature purement statique des éléments filmés et des caméras configurées, le documentaire n'est pas à réserver aux amateurs d'action, de traveling et de rythme. Un programme parfait à regarder avant de dormir !
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home